......"Dzzzzzzzzzz", ELECTRO-CHOC !!! "Ready Player One"......Oh-My-Godness !! Alors là.....je n'en reviens mais alors pas du tout ! Wouaw wouaw wouaw !! Spielberg....tu m'a juste BLUFFE comme jamais !! J'en viendrais presque à me demander si je n'ai pas rêvé ce film tant, rien qu'en y repensant, mon corps est encore sous le choc, parcouru de surexcitation presque comme un grand courant électrique de centaines de milliers volt.... et pourtant, paradoxalement en même temps, d'une infinie douceur de bonbons Haribo sucrés ! Mais qu'est ce donc que ce film de fou, cette dinguerie ?! Les bras m'en tombent, impossible d'arriver à me calmer (mais on va essayer hein xD) en pensant à cette.....TUERIE !
Avant de commencer, moi perso, j'ai jamais été un "vrai" geek, j'ai jamais eu THE âme de gamer, si vous voulez tout savoir, je me suis arrêté à la Playstation 2 et à la Wii, aux Sonics, à "Tomb Raider: Legend" (2006), à "Prince of Persia: les sables du temps" (2003) ou encore "Astérix XXL" (2003), là sont les références de ma (minuscule) culture en terme de jeux vidéos.
Cela pourrait peut être expliquer pourquoi auparavant, "Ready Player One" ("RPO") n'éveillait pas de réelle hype en moi mais plus une curiosité ouverte de voir un blockbuster de Pop-culture geek avec le nom vendeur de Steven à la réalisation. Mais fort heureusement, la communication publicitaire massive tout autour aura eu raison d'achevée de transformer cette petite flammèche en véritable brasier d'impatience dans mon esprit de cinéphile en apprentissage encore et toujours en quête de plaisirs cinématographiques ! Tout ça pour dire que dans les dernières semaines qui ont précédées sa sortie dans les salles obscures, j'étais finalement devenu gravement hypé !!
Steven Spielberg on ne le présente plus, ce mec c'est littéralement une divinité avec un grand D du Cinéma, un réalisateur de légende qui fait de l'or avec tout ce qu'il touche ou presque à quelques très rares exceptions près !

Après avoir trébuché avec le malheureux échec financier de l'adaptation mignonne et féerique du conte pour enfant de Roald Dahl, "Le Bon Gros Géant" à l'été 2016 (176 millions de dollars rapportés seulement alors que le film en avait coûté 140 millions), tout juste sorti de son drame politique-historique américain des années 60-70 "Pentagon Papers" avec Tom Hanks et Meryl Streep, pas le temps de se reposer pour le réalisateur de "Jaws" (1975), "Les aventuriers de l'arche perdue" (1981) et "La Liste de Shindler" (1993) !
"Ready Player One", film de SF, action, aventure, adapté du roman "Player One" d'Ernest Cline publié en 2011 et réalisé par S.Speilberg dont il est le trente et unième long métrage, nous emmène dans le futur.
L'histoire de RPO prend place en 2045. Dans une société chaotique en train de dépérir, touchée par les conflits, l'appauvrissement des ressources énergétiques et la surpopulation, les gens fuient le quotidien en enfilant des casques de réalité virtuelle leur offrant l'évasion dans une immense société virtuelle de jeux vidéo alternative accueillant la plupart de l'humanité. Cette société crée par James Halliday a pour nom l'OASIS. Aussi, lorsque Halliday décède, l'homme étant sans doute devenu le plus riche de la planète, confit un message aux geeks du monde entier dans lequel ce dernier leur annonce que celui qui parviendra a surmonter les trois défis, à découvrir les 3 clés et enfin à s'emparer de l'oeuf de pâque caché dans l'OASIS, recevra 500 milliards de dollars en récompense et aura....le contrôle total de l'OASIS.
Jeune garçon de 18 ans, orphelin, Wade Watts, en véritable geek, fait comme tout le monde et passe la plupart de son temps à vivre dans l'OASIS sous les traits de son avatar Parzival, rêvant comme tout le monde trouver le fameux trésor-testament d'Halliday. Cependant, le monde virtuel est aussi l'objet de convoitise de grandes entreprises, à l'image de IOI ("Innovative Online Industries") à la tête de laquelle, le PDG Nolan Sorrento est bien décidé raflé la mise pour les desseins secrets de la multinationale. La chasse à l'oeuf de pâque prend alors la tournure de véritable course contre la montre dans laquelle IOI fera tout pour mettre des bâtons dans les roues des geeks. Du sort de l'OASIS pourrait donc bien dépendre celui du monde.
Geek vs Industriels, qui sortira vainqueur de partie et qui finira game over ? Wade réussira t-il a surmonter les épreuves d'Halliday ? Quels sont les objectifs de Sorrento et pourquoi une multinationale s'intéresse-t-elle d'aussi près à un...."jeu vidéo" ? Quels secrets entourent la création d'Halliday ?
Voilà pour le pitch global.
Verdict : Cinéma d'auteur confidentiel et modeste, cinéma hollywoodien blockbusteresque....Steven Spielberg et un mec que j'adore justement car il sait absolument tout faire, il est polyvalent et sait jouer aussi bien sur un terrain que sur l'autre, le genre de réalisateur qui incarne en quelque sorte un idéal pour moi à savoir ne plus discriminer les grosses productions et briser la frontière entre ciné commercial et ciné intimiste (gueguerre inutile qui pour moi dure depuis trop longtemps). Vous vous demandez pourquoi je dis ça, j'y viendrais plus tard car ça compte beaucoup dans mon appréciation du film.
"Ready Player One" est juste une BIG C-L-A-Q-U-E intersidérale dans la figure, un véritable choc qui m'a transcendé et comme j'en avais pas pris depuis "Avatar" (2009) de J.Cameron en terme de Cinéma spectaculaire !! De la pure Jouissance cinématographique !!!
"RPO" est un film de pur génie....de toutes façons réalisé par un génie ! Bluffant, époustouflant, hallucinant, renversant, incroyable, la liste des adjectifs qualificatifs serait bien trop longue pour citer tous les adjectifs qualifiant cette nouvelle masterpiece de la SF déjà mémorable ! Complètement conquis, complètement fasciné à 300% par ce dernier chef d'oeuvre du réalisateur de "Jurassic Park" (1993) et "Minority Report" (2002). Que dire mais que dire, absolument tout est génial dans ce film !
A mon sens, il est très important de mettre les choses au clair pour la suite de ma critique. Personnellement, je pense que "Ready Player One", on peu l'appréhender de deux façons, soit comme un très bon divertissement à gros budget bon marché en étant un consommateur (et perso je ne vois aucun mal à ça, le mot n'est en aucun cas un jugement de valeur soit en sur cher lecteur), soit bien au delà comme un film visionnaire et révolutionnaire. A mon goût les deux points de vue sont respectables, ce sont deux facettes qui se rejoignent comme s'il y avait deux films en un, deux réalité complémentaire. "Ready Player One", je l'ai ressenti comme....un blockbuster hollywoodien d'auteur, comme une vraie révolution dans l'histoire du cinéma (comme en 2009 avec Avatar et la révolution visuelle de la 3D).
On pourrait penser que "RPO" n'est qu'un immense melting pot, un burger ultra calorique bourré de condensé de Pop culture jeux vidéo/cinéma des années 70/80/90/2000, une immense addition et une grosse stratégie marketing pour attirer comme des mouches des millions de geeks et de gamers....mais ça c'est s'arrêter à l'aspect, à la forme et à ce que les bandes annonces donnent à voir.
Entre "Avatar" (2009) de James Cameron, "Retour vers le futur" de Zemeckis (1985), "Le Géant de fer" de Brad Bird (1999), "Indiana jones", "Les Goonies" (1985), "Tron: l'Héritage" de Joseph Kosinski (2010), le Disney "Les Mondes de Ralph" de Rich Moore (2012),"Code Lyoko" et même "Summer Wars" de Mamoru Hosoda (2009), sans parler des influences jeux vidéos telles que "Final Fantasy", "Kingdom Hearts","Speed Racer" "Overwatch", "Halo" ect....."Ready Player One" est une vraie bombe atomique ! Steven Spielberg nous matérialise ici LE rêve de geek ultime, le fantasme de tous les gamers et c'est tellement magnifique que j'en aurais quasiment la larme à l'oeil ! C'est beau, c'est stylé, c'est badasse (...) c'est tout ce que tu veux mais ça l'est ! Avec RPO, Steven s'offre clairement un kiffe, un rêve de gosse au cinéma et surtout un hommage à ses potes Lucas/Kubrick/Zemeckis et à la pop culture qui l'a (et nous a) bercé de 2h20 pour 175 millions de dollars de budget (et dire que c'est la même somme qu'a eu le gâchis "King Arthur" de Guy Ritchie l'an dernier o_O).
Le piège aurait été que Steven ne fasse qu'une grosse pub pour la pop culture des 80's-90's mais nan. "RPO", à chaque seconde Spielberg a une épée de Damoclès et joue au funambule avec des références à tout va et pourtant, tout est calculé, tout est une fin stratégie pour nous révéler un super scénario et un sous texte en béton !
Le scénario de "Ready Player One" est, à l'inverse de ce que pas mal de mauvaises langues laissent entendre bel et bien existant, il passe bien au premier plan et non au second derrière la montagne de dizaines...même de centaines de références présentes. Le scénario est facile d'accès mais construit et abouti, un scénario logique de jeu vidéo, semblable à des niveaux mais superbement garni de péripéties captivantes, explosives


(courses, jeux de plateformes, recherches d'artefacts et d'items, combats et même du FPS),


on est en fait véritablement face à une partie de jeu vidéo sur grand écran dans lequel le spectateur en même temps que le personnage du film, se substitut à l'avatar dans l'OASIS. Un scénario qui avec fait des miracles avec du simple et qui nous accroche totalement car Spielberg réussi à transposer un jeu vidéo sur grand écran. Au delà de ça, ça sent l'aventure à plein né façon "Goonies" et "Inidana Jones" à chaque plan à chaque moment avec en arrière plan une sorte de sous texte Arthurien et Biblique (oui...j'arrive à trouver des références Bibliques dans un film de SF qui parle de jeux vidéo....OUAIS c'est possible !).


Le fait que le héro ait en nom d'avatar "Parzival" qui est une référence directement explicite au chevalier de la table ronde en quête du graal, graal qui est ici dans le cas de "RPO" l'oeuf de pâque en or caché dans l'OASIS par Halliday, Halliday qui en tant qu'inventeur du jeu, du fait qu'on ne le voit qu'à travers l'avatar d'un veux sage encapuchonné chaque fois que Wade/Parzival et les autres réussissent une épreuve, comme le Dieu de ce monde virtuel (du coup on peu limite se demander si en fait, les humains dans le film ne serait en fait pas morts et le monde virtuel serait une matérialisation du paradis....ou alors une vanité du paradis comme désormais accessible à tous et sans plus aucune spiritualité, que les avatars seraient les esprits des hommes après leur mort physique....faut creuser tout ça).


D'ailleurs on parle de graal, et que cherche Indy dans "La Dernière Croisade" (1989)...eh ouais, le graal ^^ (donc là aussi on peu y voir une référence de Spielberg à lui même).
Autre chose super intéressante, c'est que le scénario aborde aussi


des questions de partage des revenus, des zones d'ombres de désaccord sur l'histoire de la création de l'OASIS entre J.Halliday et un autre de ses collaborateurs.


Je pense qu'il s'agit là d'une référence à Bill Gates et Steve Jobs (1955-2011) et la "rivalité" entre Microsoft et Apple mais peut être aussi à son propre père, Arnold Spielberg qui travaillait dans l'informatique et à contribué à faire avancer les travaux sur l'ordinateur.


(Punaise, du coup Halliday serait en fait le "Dieu" de l'OASIS et en + une sorte de figure de père en référence au père de Steven...."Dieu le père" o_o)


A travers son histoire, "Ready Player One" (et c'est LA que le film tire à mon sens tout son génie et sa profondeur) dresse en fait une véritable critique de la société geek et de la société de consommation tout court quelque part. A travers l'OASIS, "RPO" fait ici la critique d'une société dépourvue de vie sociale à la mentalité individualiste et égoïste ou les gens ne se parlent plus et sont renfermés sur eux même, de gens déconnectés de la réalité, ne vivant que pour jouer, que pour le virtuel, l'irréel, l'illusion, préférant vivre dans l'illusion, dans le plaisir plutôt que d'affronter la réalité. "Ready Player One" est un double ! le film a presque littéralement un corps et un esprit comme un être à part entière !
Quelque part, il n'est absolument pas difficile de remplacer les jeux vidéo et la réalité virtuelle par....la Cinéma lui même !
C'est pour ça que j'insiste sur le fait que le film peut être approché de 2 manières, qu'il est loin d'être un bête melting-pot blockbusteresque de pop culture geek et que pour moi, Speilberg a réussi à casser la frontière pour réunir ciné d'auteur et ciné grand spectacle ! Oui, "Ready Player One", je l'ai ressenti comme une réflexion sur le cinéma !
C'est complexe, le film joue sur le point de vue. Habituellement au cinéma il y a 3 points de vue : le notre, celui du personnage interne au film et celui du réalisateur extérieur au film, derrière la caméra.
Sauf qu'ici....Les personnages sont à la fois eux....et leur avatar, donc ils sont doubles ! (encore une fois, on pourrait faire la distinction corps/esprit avec l'avatar virtuel). La réalité virtuelle pouvant se substituer au cinéma, on peu y voir de la part du réalisateur de "Munich" (2005) et "Tintin" (2011), une critique adressée à nous. Les personnages dans le film étant comme des "Spectateurs" (ou acteurs ??!) face au "film" de leur avatar dans l'OASIS. Ce serait donc une critique du spectateur d'aujourd'hui, exigent, ne vivant que pour consommer du cinéma spectaculaire bref, vivant pour l'illusion vanité du plaisir de l'écran......comme si l'Homme avait "besoin" du cinéma, comme si le besoin de spectacle, d'évasion était un besoin physique, corporel que l'homme se serait persuadé que ce désir était un besoin vital conscient/inconscient/pulsionnel...(?).
Je sais pas si vous savez, mais dans l'histoire des théories du Cinéma, il existe un théoricien Italo-Esagnol, Riccioto Canudo (1879-1923) qui a théorisé la notion d' "Oubli esthétique" chez le spectateur de Cinéma.
Ce qu'il entendait par là, c'était que lorsqu'on regarde un film, on s'oubli sois même, on s'incarne mentalement dans la tête du personnage et on se sent comme "dans le film". Pourquoi je parle de ça ? Déjà car c'est l'un des principes et de buts fondateurs du spectacle cinématographique et notre désir à tous lorsqu'on va voir un film, ensuite, pourquoi je repense à cette notion ? Eh bien car dans "Ready Player One", en enfilant un casque de réalité virtuelle, les personnages s'oublient, en même temps que nous les oublions en regardant le film. C'est juste une méga REVOLUTION ! Maintenant en 2018, on ne vit plus seulement l'oubli esthétique mais....on voit des personnages dans un film vivre un oubli esthétique (Comme les persos de "Inception" qui font un rêve dans un rêve si vous voulez une comparaison ^^).
Côté personnages, encore une fois tout le génie et l'intérêt réside dans le fait qu'ils sont par essence doubles, du coup, si de base ils sont plutôt fonctionnels, bien vite les avatars arrivent à devenir des vecteurs de leurs conflits psychologiques qui change arrive à trouver un parfait équilibre entre cinéma d'action et cinéma de personnage.


Nan mais la scène de danse dans les aires entre Parzival et Artémis dans la boîte de nuit de l'OASIS sur fond de "Stayin' Alive" des Bee Gees.....des frissons tout le long du corps tant c'est la Beauté même ! Là on touche carrément à la poésie avec de l'animation en 3D quoi, tant de couleurs, de fluidité... certainement en voie de devenir un coup de coeur pour moi !


Cette séquence est particulièrement caractéristique du conflit psychologique d'ensemble habitant les personnages du film : la question des apparences.


Artémis rejette l'amour que Parzival lui porte tout simplement car elle a peur que Wade ne soit amoureux que d'Artémis et non de Samantha; et c'est juste tellement bien pensé que ça en devient presque aussi poignant que dans Cyrano sans dec' !


La couleur aussi dans "RPO" retrouve son essence cinématographique même car au départ, dans les années 30 et jusque aux années 1950, la couleur au cinéma était destiné essentiellement aux comédies musicales, films d'animation ect bref, les films qui prônaient l'évasion comme pour "Le Magicien d'Oz" (1939). De la même manière que pour Dorothy, Wade cherche à fuir la réalité et visuellement ça se manifeste par la couleur, on le voit dès les premiers plans d'ensemble du bidonville de Colombus aux immeubles de caravanes empilées ou tout l'environnement est gris et peu coloré. En contradiction, le monde de l'OASIS est rempli de couleurs (rouge, pourpre bleu....bleu qui est une couleur associée à l'espoir).
Les acteurs ne sont pourtant pas des têtes dans le milieu, ils n'ont pas de grande notoriété derrière eux et pourtant ils sont super convaincant ! On retrouve Tye Sherdian dont je n'avais pas reconnu qu'il s'agissait d'un des deux gamin dans "Mud" de Jeff Nichols avec Matthew McConaughey (2013) et qui du coup a prit vachement d'assurance depuis, à suivre.
Euh bon, là je crois qu'il faut vraiment mais vraiment que je conclue cette critique sinon ça va carrément virer à la thèse. En définitif, "Ready Player One" c'est une immense claque cinématographique, la plus grosse depuis "Avatar" ! A travers l'adaptation du roman de Cline, Spielberg a produit un film miraculeux rendant ses lettres de noblesse à la Pop culture et aux jeux vidéo auxquels il arriverait pratiquement à prêter une valeur artistique ! Et si en fait, là état son véritable but depuis le départ....
Quoi qu'il arrive, on retrouvera prochainement Spielberg sur un nouveau drame historique avec prévu pour 2019, "The Kidnapping of Edgardo Mortara" qui parlera de l'histoire d'un enfant juif de Bologne enlevé par les autorités Papales en 1858.
Après quoi, j'espère que Spielberg, outre le 5ème "Indiana Jones" qui verra le jour en 2020, concrétisera vraiment "Tintin 2". Mais pour le moment, GGS : "God Geek Spielberg" !

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le 9 avr. 2018

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L_Otaku_Sensei

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