Huit clos ésotérique et métaphysique, BO oppressante signée par John himself, maquillages du feu de Dieu (l'Elue!), haletant dans sa seconde partie, interessant dans sa première de par cette opposition science/religion et par ce scénario complètement fumé mais si bien soutenu qu'il en devient presque crédible.. Ou plutôt moins source de WTF.
Oué Prince of Darkness m'a moins éclaté que The Thing, notamment à cause de son casting bien moins convaincant et un délire fantastique plus consensuel dirons nous, mais cette fin, cette vision de l'horreur qui ressert son étau petit à petit sur notre équipe, isolée dans l'église, au milieu d' une Los Angeles incandescente et désertée, slurp!