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Premier Contact ou l'anti Independence Day. A l'inverse d'un Roland Emmerich, Denis Villeneuve joue la carte de l'anti spectaculaire. Fidèle à lui même, il livre un scénario intelligent, véritable labyrinthe pour nos neurones, doublé d'une réalisation et d'une mise en scène tout en sobriété où tous nos sens sont mis à rude épreuve.
Une petite piqûre de rappel aux spectateurs qu'un film de SF n'est pas forcément un combat planétaire entre humain et aliens, mais peut aussi être une véritable expérience sensorielle.
Ma critique complète sur mon blog: http://mesmotsen169.blogspot.fr/2016/12/premier-contact.html
Créée
le 29 déc. 2016
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