Imaginez un monde où les moyens d'une grosse production (même si on voit par moments que le film évite de mettre en contact les humains et la -néanmoins parfaite- CGI) seraient consacrés aux mascottes des Jeux Olympiques et des Coupes du Monde (remember Footix, alias "Pokémon bleu") réunies pour jouer les premiers rôles, ne laissant que des versions Live Action miteuses (un pléonasme) pour Death Note et l'Attaque des Titans... Un cauchemar ? Pas si vous avez 7 ans (le site n'est pas réservé aux 18 +, que je sache -à vérifier quand même-!), ou si vous êtes né(e)s en 1990...
Ce qui n'est pas mon cas ; raison sans doute pour laquelle ayant prévu de me coucher "tôt", c'est-à-dire dès la fin de ce long métrage je me retrouve à rédiger cette critique, après une bonne sieste qui ne m'en a pourtant pas fait perdre le fil, même si le scénario a plus de rebondissements que de cohérence.