Après le plutôt réussi Sil Maria, Olivier Assayas réemploie la bien fade K. Stewart dans un patchwork vraiment abscons, schizophrénique, où la vie spirituelle de l'héroïne est en complète contradiction avec sa réalité, sans que cela conduise réellement quelque part. Cette accumulation d'artificiel vaporeux et chic finit par produire surtout un grand désintérêt.

hubertguillaud
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le 1 mai 2017

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