Quand on voit "nos étoiles contraires" à l'affiche, on n'est pas forcément désireux de courir au cinéma pour le regarder. Du moins, si on commence à être un peu lassé des drames romantiques américains comme "le temps d'un automne" ou " un automne à New York" où, l'on sait que larmes et frustrations seront au Rendez-Vous. C'est simple, le ton dramatico-humoristico-romantique est vu, et revu.
Pourtant, C'est étonnant comme on se prend à aimer les personnages avec leur prénoms hors du commun (Hazel Grace et Gus). Surtout celui de Gus, jeune homme à l'humour décapant et à la répartie savoureuse. On rit, on pleure, c'est la règle du jeu, et on se prend même à vouloir faire partie de cet univers qui, finalement, n'est pas aussi cliché qu'on pourrait le croire. La réalité est présente, et se mêle bien au tourbillon de la fiction. En somme, un cocktail à prendre, au moins une fois!