6
Pumping Iron.
Vulgaire, beauf, clinquant, sexiste et parfaitement crétin, voici ce qui caractérise le cinéma de Michael Bay, archétype du bon gros ricain sûr de lui, le genre à rouler en 4x4 cheveux aux vents,...
Par
le 7 sept. 2014
53 j'aime
3
J'en viens presque à regretter ses vieilles bouses.
Manque total d'originalité chez notre ami Michael Bay, qui a voulu prendre tout le monde à contre-pied en réalisant un thriller tragi-comique : le film est longuet, bête, très bavard, prévisible, esthétiquement moche et surtout pas drôle. Les maladresses de ce trio nous fatiguent déjà au bout de 45 minutes. Petit point positif : le rôle tenu par Dwayne Johnson, qui se soucie pour une fois du Petit Jésus (laissant place à des situations cocasses, il faut bien l'avouer).
2
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Films 2013 et Flop FIlms 2013
Créée
le 21 sept. 2013
Critique lue 312 fois
2 j'aime
D'autres avis sur No Pain No Gain
7
Du Michael Bay sans Michael Bay ça donne No Pain No Gain
Michael Bay réalise ici un film qui sort bien de ses habitudes, en effet pas question de fusillades a gogo, d'explosions a tout va et de super cascades de fou saupoudré d'effet spéciaux hallucinant,...
Par
le 12 août 2013
51 j'aime
3
6
Bay Harbour Butchers
Bon alors, faites des photos, des captures d’écran, sauvegardez dans le cloud, entourez la date dans votre agenda, envoyez un mail à BFMTV ; j’ai mis la moyenne à un film de Michael Benjamin Bay, né...
le 3 sept. 2014
50 j'aime
20
Du même critique
8
Wow...
On pourrait parler longuement du générique du début qui dit tout sur le film (notamment le robinet qui coule au compte-goutte), des dernières images qui te disent d'aimer la vie même si tout le...
Par
le 10 janv. 2011
25 j'aime
5
Nouveau Virage.
Bon, autant être direct : je suis déçu. Random Access Memories, par rapport à ses aînés, est résolument plus funky, le côté électro étant légèrement mis en retrait, voire totalement effacé si on...
Par
le 14 mai 2013
22 j'aime
2
9
Jouissif.
Les tous derniers instants de Whiplash, ponctués par quatre minutes de folie pure en solo de batterie, m'ont plus ému que les cent-vingt minutes cancéreuses de Nos Etoiles Contraires. Où je veux en...
Par
le 10 févr. 2015
18 j'aime
