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Pumping Iron.
Vulgaire, beauf, clinquant, sexiste et parfaitement crétin, voici ce qui caractérise le cinéma de Michael Bay, archétype du bon gros ricain sûr de lui, le genre à rouler en 4x4 cheveux aux vents,...
Par
le 7 sept. 2014
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3
Arnaques, crimes et beaux tannés
Après son trop long passage par Transformers (je n’aime pas quand les réalisateurs s’enferment dans des franchises) Michael Bay revient avec un film différent de ce qu’il fait d’habitude.
Pas d’inquiétude, le rap et les nanas en bikini sont tout de même là, et on a même le droit à une explosion (oui, je dis bien une seule !). Il faut dire qu’en adaptant un fait divers, Michael Bay ne peut s’autoriser toutes les libertés. Il s’en accorde quand même pas mal en abordant son sujet de manière comique et limite absurde par moments alors que ça devait être beaucoup moins drôle en réalité.
Bien que le scénario ne soit pas forcément très passionnant à la base, Bay et son équipe arrive à le transcender grâce à ce côté fun, aux dialogues épineux et au trio principal qui fonctionne à merveille. Le cerveau (sic) du groupe est incarné à la perfection par Mark Wahlberg, le gros bras neuneu est peut être le meilleur rôle que Dwayne Johnson ait eu sur grand écran depuis le début de sa carrière, Anthony Mackie n’étant pas en reste non plus.
C’est pas très malin (ça reste du Bay et très américain dans l’esprit), mais c’est fun, énergique, gonflé aux stéroïdes… Que demander de plus ?
Pas d’inquiétude, le rap et les nanas en bikini sont tout de même là, et on a même le droit à une explosion (oui, je dis bien une seule !). Il faut dire qu’en adaptant un fait divers, Michael Bay ne peut s’autoriser toutes les libertés. Il s’en accorde quand même pas mal en abordant son sujet de manière comique et limite absurde par moments alors que ça devait être beaucoup moins drôle en réalité.
Bien que le scénario ne soit pas forcément très passionnant à la base, Bay et son équipe arrive à le transcender grâce à ce côté fun, aux dialogues épineux et au trio principal qui fonctionne à merveille. Le cerveau (sic) du groupe est incarné à la perfection par Mark Wahlberg, le gros bras neuneu est peut être le meilleur rôle que Dwayne Johnson ait eu sur grand écran depuis le début de sa carrière, Anthony Mackie n’étant pas en reste non plus.
C’est pas très malin (ça reste du Bay et très américain dans l’esprit), mais c’est fun, énergique, gonflé aux stéroïdes… Que demander de plus ?
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le 10 sept. 2013
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