Il n’est plus l’heure pour Becker de songer au passé : Goodbye Lenin est bien loin. Il laisse le soin des temps jadis à Jesper Christensen, un habitué de Bond très vieilli qui sortira de son grand sac des souvenirs autrement plus pops que 007. Kaminski n’est pas réel mais il pourrait : contemporain de Warhol doté du caractère de ces personnes devenues personnages dans la vraie vie... Lire la critique de Moi et Kaminski