Critiques de Maps to the Stars

Sergent_Pepper
7

Ashes to ashes

Au fil de sa carrière, Cronemberg semble aiguiser le tranchant de son cinéma par un traitement de plus en plus clinique. Aux excès insolites d’un Crash ou Faux semblants, aux saillies violentes des...

le 26 mai 2014

78 j'aime

6

Vivienn
6

Usine à cauchemars

Sur l'affiche de Maps to the Stars, Hollywood est en flammes. Est-ce un rêve ? La réalité ? Une illusion ? Sans doute un peu des trois. Deux ans après Cosmopolis, David Cronenberg revient avec un...

le 23 mai 2014

59 j'aime

3

mymp
4

Mauvaise étoile

Cronenberg et moi, dans les années 90, c’était le grand amour. On filait droit, en osmose. Je l’avais même présenté à mes parents (et bien que ce fût, déjà, le grand amour avec Peter Greeenaway, mais...

Par

le 2 juin 2014

44 j'aime

11

Velvetman
8

Maps to the stars

Maps to the Stars reprend là où s’était terminé Cosmopolis. La société, son absurdité, sa consommation, sa chute vertigineuse dans l’auto-saturation reprennent vie dans une œuvre malade à la densité...

le 21 mai 2014

42 j'aime

2

PatrickBraganti
6

Californian Psycho

Quel scoop : Hollywood serait le repaire de tous les vices et de toutes les névroses. Un univers pourri jusqu’à la moelle par l’argent, peuplé d’acteurs, de producteurs et d’agents mesquins,...

le 23 mai 2014

29 j'aime

2

Pravda
7

Non, pas de jeu de mot à la "étoile" et "Cronenberger", z'êtes fous.

-- Pour les plus pressés, prière de se téléporter directement au dernier paragraphe -- Dire que j'étais impatiente de voir ce film relève de l'euphémisme. Dire que je fus désappointée lorsque je...

le 1 oct. 2014

29 j'aime

1

Krokodebil
7

Mulholland Overdrive : la piste aux étoiles.

Avec son dernier film, présenté en sélection officielle de la 67e édition du Festival de Cannes, le canadien David Cronenberg grossit les rangs des cinéastes majeurs qui ont voulu régler leurs...

le 23 mai 2014

28 j'aime

cinematraque
9

Le retour du GRAND Cronenberg !

On avait laissé David Cronenberg sur son adaptation littérale et un peu bavarde du beau Cosmopolis de Don DeLillo, et sur un prometteur mais relativement décevant portrait de la relation Freud-Jung...

le 18 mai 2014

25 j'aime

2

Moizi
8

Capitale de la douleur

Cosmopolis m'avait vraiment marqué, sauf pour ses dernières minutes qui cassaient un peu le film, mais j'attendais quelque chose du même genre, une oeuvre aussi étrange que radicale et dérangeante...

le 21 mai 2014

23 j'aime

2

easy2fly
3

Burn Hollywood, Burn!

A voir les critiques dithyrambiques sur le film, le prix d'interprétation pour Julianne Moore à Cannes, je me dis que j'ai dû passer à côté, surement contrarié par un RER qui a mis 55 minutes au lieu...

le 25 mai 2014

17 j'aime

6