Tout commence sur la planète Krypton où une femme met au monde un enfant crée de manière naturelle (oui parce que sur Krypton les bébés ne grossissent pas dans le ventre de leurs mères), son nom Kal El.
Peu après nous découvrons que Krypton est un monde en ruines par la faute de ses dirigeants qui ont usé le noyau de Krypton.
Jor El (le père de Kal El) veut envoyer son fils sur Terre pour qu'il y fasse survivre leur espèce et qu'il guide les Terriens afin qu'ils ne commettent pas les mêmes erreur que sur Krypton. Mais le Général Zod profite de la confusion pour faire un coup d'Etat et prendre le pouvoir. Le but de Zod est trouver une nouvelle planète pour y faire survivre les Kryptoniens et éviter de refaire les erreurs du passé.
Tout cela se terminera par l'envoi de Kal El sur Terre et celui de Zod et ses hommes dans une prison galactique.
Nous nous retrouvons sur Terre pour le reste du film, Kal El, rebaptisé Clark Kent, est à la recherche de ses origines et s'aventure en Alaska où il va rencontrer Lois Lane.
Pendant ce temps Zod et ses hommes ont réussis à se libérer et se dirigent vers la Terre pour la remodeler afin qu'ils puissent y vivre, ce quitte à faire disparaître la race humaine dans la foulée...
Nous avons ici à faire à un remake de Superman et Superman 2.
Dans un premier temps le film est plutôt calme, on nous présente les origines de l'homme d'acier a travers son départ de Krypton, des flashbacks de son enfance sur Terre et la recherche de ses origines.
Puis Zod débarque pour la seconde partie du film qui consistent en une longue baston superbement chorégraphier bien qu'un peu longue.
Le bilan, encore une fois le méchant prends le pas sur le héro car c'est ce dernier qui marquera les esprits.
Les effets spéciaux sont bien foutus et le tout se suit avec une redoutable efficacité.
Ce Superman ne met pas son slip par dessus son pantalon mais ce n'est finalement pas gênant.
Ce qui l'est plus c'est que son interprète est un brin fade.
Ce qui fait que ce film est un poil moins bon que le récent Star Trek.
Mais ne boudons pas notre plaisir a cause de ça.