Luke la main froide

Le film de prison regroupe des éléments bien précis, qu’il se concentre entièrement sur le drame ou pas. Luke la main froide reprend la dimension thématique du genre, mais se rapproche surtout de ce que Mervyn Le Roy avait fait, avec Je suis un évadé (1932). Suite au... Lire la critique de Luke la main froide

L'homme dans la boîte Déjà, et tu peux te moquer, j'ai envie de dire qu'il me manque comme jamais un gus me manquera jamais. Et pourtant, je mange pas de ce pain là, tu peux me croire, mais avec Luke, j'ai pris perpette. C'est marrant parce que maintenant, les gens en parlent comme s'ils l'avaient tous connu, comme si ça avait été le copain... Lire la critique de Luke la main froide

Luke est un ancien héros de guerre qui guette l'occasion pour essuyer l'ennui. Par le passé il collectionnait les médailles, aujourd'hui il décapite des parcmètres. Pour passer l'temps. Peu importe que ça ait du sens ou non, Luke devait trouver tout autant à vivre dans son ancienne fonction à buter du congénère que dans sa nouvelle situation à cisailler les hautes herbes urbaines. Forcément,... Lire la critique de Luke la main froide

La séquence d’ouverture de Cool Hand Luke ressemble étrangement à celle de La chatte sur un toit brûlant : un Paul Newman à la dérive, une nuit d’ivresse, vaquant à des occupations absurdes : au saut d’obstacles du premier succède... Lire l'avis à propos de Luke la main froide

Vous savez j'aime beaucoup Newman jeune, lui et sa tête de petit con de première qui avait toujours l'air de dire qu'il vous emmerdait avec un sourire. J'aime beaucoup sa façon de pouffer de rire comme si se foutre de vous était une évidence. On l'imaginerait bien se pointer chez vous, pas bonjour pas merde, rouler un patin à votre femme, boire la dernière bière du frigo et vous réclamer entre... Lire l'avis à propos de Luke la main froide