Critiques de Little Odessa

SanFelice
9

Tragédie familiale

Le début du film est fulgurant. D'abord on voit Joshua Shapiro (Tim Roth) qui abat un homme, puis il reçoit une nouvelle mission qui doit l'emmener à Little Odessa, quartier russe de Brooklyn. Il n'a...

le 24 nov. 2012

107 j'aime

20

Sergent_Pepper
8

Requiem for a teen.

L’entrée en cinéma de James Gray se fait par un geste aussi fort que naïf : dans une salle obscure, face à un western dont la pellicule finit par brûler. La symbolique est ambivalente : fin du...

le 13 sept. 2016

59 j'aime

4

drélium
5

Critique de par drélium

Il y a quelque chose, du James Gray surement, faut aimer... C'est incroyablement déprimant et remporte une certaine unanimité qui m'étonnera toujours. C'est bien joué assez logiquement avec Tim Roth...

le 22 juin 2012

35 j'aime

9

Kiwi-
8

Childhood Poverty.

Comme les matriochkas, « Little Odessa » enchaine au milieu d’une tragédie familiale un thriller obscur se composant de plusieurs facettes. Chronique d’une famille russe égarée à Brooklyn et dont...

le 15 mars 2016

31 j'aime

2

Kalian
8

Critique de par Kalian

Un tueur à gages obligé de retourner dans son quartier natal pour honorer un contrat se retrouve confronté à son passé. James Gray signe ici son premier film, et explore déjà des thèmes qu'il...

le 20 sept. 2010

24 j'aime

EvyNadler
8

La nuit ne leur appartient plus.

Joshua (Tim Roth) revient dans le quartier de Little Odessa où il a passé son enfance pour exécuter un contrat. Ce tueur à gages, sans remords ni états d'âme, va retrouver son frère Reuben et ses...

le 17 déc. 2014

20 j'aime

7

Maqroll
9

Critique de par Maqroll

Premier film de James Gray, l'un des génies incontestables du cinéma actuel, où déjà l'essentiel est en place. Un scénario, d'une solidité qui force l'admiration, rapporte une histoire tragique...

le 30 sept. 2010

20 j'aime

1

Star-Lord09
7

L'innocence fracassée

Dans une interview accordée aux Cahiers du Cinéma pour la sortie de Armaggeddon Time, James Gray évoquait son enfance et sa vision toute personnelle de l'enfant expurgée de l'innocence. Je ne crois...

le 21 déc. 2022

18 j'aime

4

Yanhic
10

Sans échappatoire

Janvier 1995, dans mon petit ciné d’art et d’essai de province, je reçois comme une balle en plein cœur le premier film d’un génie du Septième Art de 24 ans nommé James Gray. Sonné, abasourdi, hagard...

le 17 nov. 2012

18 j'aime

3

Procol-Harum
8

"I don't need a gun to be a man"

Little Odessa, premier film de James Gray et premier plan redoutablement signifiant : cette vision d’un regard prisonnier de l’obscurité annonce, en effet, la tragédie à venir, l’omniprésence de la...

le 11 sept. 2022

16 j'aime

4