ce que j'aime chez chaplin c'est que mise a part le fit quil face rire il ému aussi car ils est le souffre douleurs des perso.dans ce film il évoque la le travail moderne vue comme une prison ou ta le patron bourgeois qui observe ses travaillerus sans non plus allez les voir physiqiuement la ça me fait penser a haneke avec son happy end et ca peremet aussi de voir ou les...
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Le moderne de l'ancien
Je continue l'exploration de l'oeuvre de Chaplin. Les Temps Modernes étant l'un des ses plus grands classiques dont certains extraits sont archi-connus (tout comme la chanson en yaourt vers la fin du film, la première fois que la voix de Chaplin est alors entendue dans un film).
Le film attaque d'emblée sur le travail d'usine avec des scènes insistant sur le rythme effréné et...
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Le chef d’œuvre ultime
Celui qui n’a pas vu Les Temps Modernes n’a rien vu. Ou plutôt, il lui reste tout à voir. Chaplin y incarne son personnage fétiche, Charlot le vagabond naïf et candide. Celui-ci tente de survivre dans un monde dominé par la cupidité, la manipulation et l’exploitation des uns par les autres. Nous sommes dans l’Amérique aux prises avec les conséquences du krach boursier de 1929. Le chômage est...
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"Se bella giu satora, jenotre so cafore..."
Satire du travail à la chaîne et réquisitoire contre les conditions de vie lors de la Grande Dépression, « Les Temps Modernes » est le dernier film muet mettant en scène Charlot. Il faut être honnête, ce film est le meilleur, incontestablement, de Charlie Chaplin, en tout cas durant l’époque du muet. Même si le réalisateur fait le choix d’abandonner l’idée du format parlant, pensant que...
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Intemporel
Ce qui me frappe toujours avec les Temps modernes, c’est à quel point Chaplin détaille en profondeur les différents aspects et méfaits de la société moderne. Loin de s’arrêter au travail d’usine, il abord aussi bien les thèmes de la pauvreté, de la crise économique, de l’aliénation par le travail, de la naissance de la consommation de masse, du capitalisme, des inégalités et de la...
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Critique de Les Temps modernes par Louise
Le fil rouge des temps modernes, c'est la misère qui pousse les ouvriers au pétage de plomb, les débrouillards à improviser, les chômeurs à s'imaginer la vie de château dans leur masure croulante, à fuir comme la peste le gendarme et son bâton. La satire est parfaitement dosée, et on oscille toujours entre absurdité et tendresse, pathos et joie enfantine. La succession des sketchs entremêle...
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Une merveilleuse histoire du temps
Je notre si cavore, je la tu la ti la toi !
La sortie récente de Joker est une excellente raison pour se replonger dans le chef-d’œuvre de Charlie Chaplin. C’est une leçon de persévérance, d’humour, et une invitation à garder le sourire en toutes circonstances, dans un monde frénétique qui va trop vite pour ses habitants. Et encore aujourd’hui à bien des égards, les...
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Intemporel
Charlot traverse la crise de 29, les excès du capitalisme et de l'industrialisation. Toutes les scènes de ce film forment une succession de tableaux magnifiques. Du début du film dans l'usine ou il dénonce avec son humour l'aliénation par le travail à la chaine. Ensuite il y à la pauvreté et l'exclusion qui est telle que notre héros préfère rester en prison et se priver de sa liberté (si...
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Deux roses sur un tas de fumier.
La production démentielle ou l’enfer de la rue en alternance pour deux cobayes sans identité dans une époque du même nom dont on peut néanmoins atténuer les impacts grâce à un état second et une vivacité débordante.
La pantomime et l'efficacité, l’automate et la fouine dans d’immenses salles de production froides et hiérarchisées ou sur les docks à l’affut d’une opportunité....
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Le Kid a bien grandi
Revenant de l'écriture linéaire de Les Lumières de la ville, Chaplin opte de nouveau pour des semblants de sketches alignés les uns contre les autres, avec une cohérence autour du titre (que ne laissait pourtant pas supposer le titre de travail, The Masses). Encore un bon choix pour la continuité de sa carrière, qu'il pousse dans la sonophobie jusqu'à faire de ce film le dernier muet...
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