Punch drunk Love
Ben ouais, notre héros abruti de violence s'appelle Love, ce qui ne doit pas être un hasard... Mais revenons à nos moutons, ou plutôt nos brebis...galeuses. Le film, bizarrement appelé les poings...
Par
le 6 juin 2014
35 j'aime
5
Créée
le 6 juin 2014
Critique lue 2.8K fois
35 j'aime
5 commentaires
D'autres avis sur Les Poings contre les murs
Ben ouais, notre héros abruti de violence s'appelle Love, ce qui ne doit pas être un hasard... Mais revenons à nos moutons, ou plutôt nos brebis...galeuses. Le film, bizarrement appelé les poings...
Par
le 6 juin 2014
35 j'aime
5
Le genre du film de taulard a beau être saturé depuis belle lurette, il arrive encore à nous offrir quelques beaux moments. Remarqué dans de nombreux festivals, Les poings contre les murs ne sort...
Par
le 12 juin 2015
29 j'aime
2
Entre la romance Perfect Sense et le polar Comancheria, David Makenzie s’essaie en 2013 à un autre genre bien codifié, le film carcéral. Et, comme à chaque fois, il parvient à saisir l’essentiel du...
le 10 janv. 2018
25 j'aime
4
Du même critique
Ben ouais, notre héros abruti de violence s'appelle Love, ce qui ne doit pas être un hasard... Mais revenons à nos moutons, ou plutôt nos brebis...galeuses. Le film, bizarrement appelé les poings...
Par
le 6 juin 2014
35 j'aime
5
Au fur et à mesure que le film avance, Constance (Marina Foïs), l’héroïne d’Irréprochable, héroïne si on peut dire, semble gagner dans sa chevelure blonde (« tu t’es prise pour Catherine...
Par
le 12 juil. 2016
28 j'aime
2
La première scène de Toni Erdmann donne le ton du film : des blagues insondables tellement c'est lourd, une mise en scène inexistante, un acteur qui cabotine à fond. Comme on en a vu d'autres, des...
Par
le 20 août 2016
22 j'aime
1