Une belle illustration de la danse macabre : personne n'échappe à la mort, riche comme pauvre. Le forgeron et sa femme, le chevalier qui joue avec la mort, son écuyer, le comédien, etc., personne ne négocie avec la mort.
Dans ce film, un chevalier se pose de nombreuses questions existentielles. Dieu existe-t-il ? Si oui, où se trouve-t-il ? Pourquoi meurt-on ? Après la mort, est-ce l'Enfer, le Paradis ou le néant ?
Évidemment, à cette question du vouloir savoir, demeure l'ignorance du pourquoi de l'existence et de sa fin.
Créée
le 16 mai 2021
Critique lue 170 fois
6 j'aime
D'autres avis sur Le Septième Sceau
Ingmar, si tu m'entends, j'ai un truc à te dire. Ça ne prendra pas longtemps, j'ai cinq minutes et toi l’Éternité, alors n'aie crainte, je viens en ami. Du passé, faisons table arabe ! Je viens pour...
Par
le 4 sept. 2013
118 j'aime
19
« Quand l’agneau ouvrit le septième sceau, un grand silence envahit la terre ». Après le passage des quatre cavaliers et leurs cortèges de misères, les guerres, les désastres naturels, la peste,...
Par
le 16 mai 2014
87 j'aime
9
Le Septième Sceau d’Ingmar Bergman est un incontournable pour beaucoup de cinéphiles, car il fait partie de ces films qui assurent au spectateur un vertige enivrant, assailli de questions...
Par
le 16 juil. 2018
77 j'aime
8
Du même critique
Livre d'une nullité crasse, d'un ennui affligeant, qui dresse ce même ennui au niveau le plus haut - à se demander s'il s'agit du génie de l'auteur ou au contraire de son absence -, qui confond les...
Par
le 1 août 2020
7 j'aime
Une belle illustration de la danse macabre : personne n'échappe à la mort, riche comme pauvre. Le forgeron et sa femme, le chevalier qui joue avec la mort, son écuyer, le comédien, etc., personne ne...
Par
le 16 mai 2021
6 j'aime
Peut-on mourir d’ennui ? C’est la question que pose le visionnage de ce film. Adaptation d’une de ses pièces de théâtre, elle-même adaptée de son nullissime ouvrage le Vice Consul. A peine la...
Par
le 9 déc. 2020
6 j'aime
