Revu 13.09.17
Un des rares Bergman qui me laisse toujours un peu sur ma faim. La faim aussi d'un titre et d'un début merveilleux dont les promesses ne sont pas totalement tenus par le développement du film, avançant trop souvent par sauts démonstratifs que par un cours dramatique et poétique.
On aimerait tout de même que beaucoup de cinéastes est seulement le début du génie et de la...
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Lorsque la fatalité prend corps
Questionner la fatalité tout en lui donnant corps, Ingmar Bergman impose dans Le Septième Sceau l'allégorie de nombreuses de ses œuvres.
Au XIVe siècle, dans une Suède ravagée par la peste, le chevalier Antonius Block fait la rencontre de la mort. Il ne peut l’accepter sans avoir trouvé réponse à ses interrogations sur le sens de la vie et lui propose une partie d’échec afin de retarder...
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Euh... Non !?
Ce film traite tous pleins de thématiques audacieuses sur le papier mais Bergman ne parvient jamais à transcender son postulat si bien que l'indifférence finit par l'emporter à l'égard de ce "Septième sceau". Jamais le film ne parvient à poser une ambiance, instaurer une tension, créer un suspense... Rien.
L'imagerie est très belle mais rien n'est mis en valeur dans ce film, rien...
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J’ai décroché
Vu au tout début du deuxième confinement, le septième sceau qui parle de pandémie et de religion était malgré son âge et la période sur laquelle il se déroule totalement d’actualité. Et je suis passée totalement à côté. Autant j’ai trouvé que cela partait plutôt bien, j’ai accroché à ce chevalier qui rentrant des croisades entame une partie d’échec avec la mort, mais aussi son écuyer désabusé...
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A Celebration of Life
When the characters seem to say, « Pity the living », it feels like Bergman wants to say, « Don't pity anyone; live, laugh, and smile; and when Death comes at you, embrace and follow. »
When Antonius is looking for a meaning in life or in death, he doesn't realize until the last 20 minutes that what he is looking for is right in front of his eyes. It's death that gives meaning to life. Death...
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Mors futura nulli miseretur
Magnifique film suédois en noir et blanc qui compte par une série de tableau qui compte le retour d'un chevalier du voyage d'Oultremer lequel devient rival de la mort pour ne pas gagner; il rencontre avec son écuyer divers personnages: des comédiens itinérants, un forgeron ahuri, une femme trompeuse, une femme perdue et autres !Une ambiance médiévale avec la présence des...
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Critique de Le Septième Sceau par Kibruk2
Cela fait depuis ma vision de "Last action hero" de John McTiernan (et oui…) que je voulais voir "Le septième sceau" et cette lacune est enfin comblée. Et j'ai été très surpris par ce que j'ai vu : je m'attendais à une œuvre difficile, rude et très métaphasique, et si ce dernier point est bien présent, il est au cœur d'un film finalement très accessible,...
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Critique de Le Septième Sceau par Kool-Fess
On ne fait plus de films comme ça et je ne m'en plains pas. Si la plupart des plans sont magnifiques et certaines images et métaphores très puissantes, (les apparitions de la mort, le peintre cinéaste, le dîner partagé, la forêt Kurosawesque), l'histoire ne m'a pas embarqué. Le jeu des acteurs est très inégal, certains passages ont des airs de mauvais Monty Python et les costumes...
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Grand film sur la vie
Chef d'œuvreClaque cinématographique ca faisait très longtemps que je n'avais pas été aussi émuFour hyper travaillée avec la photographie, le travail sur les silhouettes, les plansSans parler de na profondeur philo et poétique du scénario avec des persos hyper bien écrits et des dialogues de qualitéC'est ce genre de film qui me rappelle pourquoi j'aime tant le...
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Echec et mat
Dans la Suède du XIVè siècle, Ingmar Bergman nous fait découvrir un pays ravagé par la peste. On va suivre plus précisément quelques individus de toute classe sociale, et examiner leur rapport à la religion. Avec cette mythique partie d’échecs avec la Mort personnifiée ou encore l’influence du catholicisme sur les masses, Le Septième Sceau dresse un puissant portrait allégorique...
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