Un Keaton que je ne connaissais pas, j'ai même du créer la fiche... Ca fait tout de suite pas mal envie normalement...

Première déconvenue, c'est de 1931, et donc, ça parle, assez mal, et le rythme merveilleux du plus grand génie du muet s'effondre d'autant.

Le reste raconte les aventures d'un professeur d'université coincé qui, croyant faire un héritage, part enfin à l'aventure découvrir la vie et se retrouve à monter un show à Broadway pour les beaux yeux d'une danseuse...

La tristesse d'un tel spectacle est indescriptible, impossible de sourire devant les efforts pathétiques pour accumuler entre deux bâillements une ou deux chutes burlesques qui tombent à plat...

Il me restait des larmes de sang à faire couler après la dernière critique d'Hélion, voilà qui est fait.
Torpenn
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le 21 oct. 2011

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