On passera sur la traduction en français, qui apparemment ne sait pas faire la différentce entre le singulier et le pluriel.
En même temps, ce film n'est pas vraiment singulier.
Le principe de la cassette qui tue passe au second plan au bout de vingt minutes, pour laisser place à une enquête sur le passé de Samara, rythmée par des visions. C'est assez glauque, pas franchement terrifiant, au point que le seul moment qui m'a fait sursauter, c'est quand un chien aboie. Johnny Gallecky est bien dans son rôle, mais on lui donne des répliques un peu creuses, et une obscure recherche sans aucune explication. On ne s'ennuie pas, on ne s'emballe pas franchement non plus. La fin fait penser gentiment à Don't Breathe, en moins bien, et Samara réussit l'exploit de sortir d'un smartphone, on est moderne ou on ne l'est pas.
La fin laisse présager une suite,
mais je n'ai pas compris pourquoi ça prend la forme d'une chaîne de mail, c'est bien plus oldschool qu'un bon vieux réseau social pour transmettre le "virus".