Thriller de facture ultra et même trop classique, on se retrouve aux prises avec un énième sociopathe qui sous ses abords de brave gars risque en fait de vous finir au couteau de boucher. Ce monsieur, Jerry, a une obsession : avoir une famille parfaite et si femme et enfant ne cadrent pas comme il le voudrait dans ce beau tableau, on zigouille tout le monde et on tente sa chance ailleurs. Le... Lire la critique de Le Beau-père
Je n'attendais pas grand chose de ce Beau-Père jusqu'à ce que j'aperçoive le nom de l'homme derrière le scénario. Donald E. Westlake, écrivain génial et cynique auquel on doit le très bon "Un Loup chasse l'Autre", et spécialiste de l'Amérique déconfite. Il est vendeur immobilier, l'air bonhomme et le sourire commercial des plus éclatants, adorable avec sa nouvelle femme et veut à tout pris le... Lire l'avis à propos de Le Beau-père
Alors j'annonce tout de suite la couleur, pour une fois, je préfère le remake ! J'ai découvert le remake de 2009 en premier, ce que je ne fais habituellement jamais, et j'avoue en avoir été très agréablement surpris. Ce n'est donc que tardivement que je me lance dans le visionnage de l'original, sorti en 1987 et réalisé par Joseph Ruben, et que je trouve moins bon, tout simplement. Le film... Lire la critique de Le Beau-père
Les années quatre-vingt à la suite des succès d’Halloween et Vendredi 13 ont été celles du slasher et virent des hordes d’étudiants libidineux tomber sous les coups de psychopathes se distinguant par un masque ou un gimmick. C’est dans ce paysage que débarqua en 1987 ce mystérieux beau-père qui eut la bonne idée d’injecter à la mécanique du slasher la recette du bon vieux suspense Hitchcockien.... Lire l'avis à propos de Le Beau-père
Le Beau-Père, thriller horrifique de 1987, ça vous dit quelque chose ? Parce que moi, je n’en avais jamais entendu parler avant il y a deux semaines alors que, si j’en crois ce que je lis sur la toile, ce film s’est forgé une solide petite réputation, donnant même lieu à deux suites, Le Beau-Père 2 en 1989 et un 3ème opus (directement pour la télévision) en 1992. Le Beau-Père a même eu droit... Lire la critique de Le Beau-père
Aborder une œuvre considérée comme culte, sans se laisser orienter par son statut, plus de trente ans après sa sortie, c’est un exercice peu évident. En la revoyant, on se retrouve forcément influencé de toute l’aura qui l’accompagne. Prend alors forme une inclinaison à chercher pourquoi c’est culte, et plus tellement pourquoi le film est bon ou pas. Tout, ou presque, a déjà été dit... Lire la critique de Le Beau-père
Après Blackout, un autre thriller avec un psychopathe tueur de familles (la sienne). Ici, pas d'histoire d'amnésie, et il n'y a pas de suspense sur l'identité du tueur . Ca n'empêche pas le film d'être bien mené, avec un suspense efficace, et une bonne interprétation. Même remarque que pour Blackout sur le côté parfois invraisemblable de l'intrigue (mais c'est assez bien fait pour qu'on y... Lire la critique de Le Beau-père