Lara Croft sauve le monde avec la même désinvolture que si elle achetait un paquet de biscottes. Les scènes d'actions se succèdent en enfilades sans arriver à nous faire oublier l’inconsistance du scénario. Les cascades nous font ni chaud ni froid, les acteurs sautillent, et cela jusqu'au moment où on se dit qu'on a peut-être mieux à faire que de regarder ce machin jusqu'au bout... La présence de la splendide Angelina Jolie est toutefois très astucieuse car au lieu de laisser tomber ce tissu d'inepties incohérentes au bout d'un quart d'heure, on ne le fait qu'au bout d'une demi-heure...