Critique de La vie est un chantier par Eowyn Cwper
Becker n’a pas mis que la vie en chantier, mais aussi sa carrière. On trouve dans son œuvre le papier peint recouvrant les murs, entre autres stigmates d’une société dont c’est un autre mur qui est tombé peu avant. Un autre exemple : le SIDA. Le virus crée le doute, pourtant personne n’en manque, et surtout pas Jan Nebel, personnage bien nommé, car il est embrumé d’un Jürgen Vogel sans envol.... Lire la critique de La vie est un chantier