
En abordant une ville réfractaire à la déviation du droit chemin et une masculinité délétère, le film atteint des sommets. Amoureuse des coquillages et de la nature plus généralement, l’héroïne est éloquente en recluse de la société. Passionnant à l’image de tous les films de procès, le métrage s’amuse avec nous notamment en jouant avec le bonnet de laine, nous faisant suspecter le garçon et nous déroute à la fin. Néanmoins, la fade mignardise de la romance était dispensable.