Critiques de La Main de Dieu

Sergent_Pepper
6

Matins de pierre

Le désir d’accession à la maturité peut passer, pour un auteur, par l’étape de l’autobiographie. Voici venu, nous dit-il, le temps de regarder en arrière, et d’unir la patte formelle à des...

le 18 déc. 2021

42 j'aime

dutch
9

Aimer, souffrir et grandir

La mer fendue par trois offshores, les sillages laissés et Naples au bout. Plan-séquence par le ciel : une voiture noire le long des rochers blancs, le Pausilippe, un soleil dévoilé ; puis retour à...

le 20 déc. 2021

28 j'aime

4

r1mrl
5

Carte postale

Tout comme Youth, La main de Dieu jouit d’une belle enveloppe mais souffre du vide qui la compose. Un corps dénué d’âme. Sorrentino nous offre deux heures de plans sublimes. Tant sublime que même les...

le 18 déc. 2021

21 j'aime

5

Cinephile-doux
7

Tranche napolitaine

La main de Dieu s'étend sur une période de près d'un an, du Mondial 86 gagné par l'Argentine au premier titre du Napoli l'année suivante, grâce au talent de Maradona qui redonna sa dignité à la ville...

le 16 déc. 2021

15 j'aime

Boubakar
8

De Fabio à Paolo.

Au milieu des années 1980, alors que l'arrivée de Maradona dans le club de foot de Naples met la ville en émoi, un jeune homme d'une quinzaine d'années ne sait pas trop quoi faire de sa vie, jusqu'à...

le 18 déc. 2021

12 j'aime

1

ArthurDebussy
5

Naples, ville monde bouillonnante, dépeinte comme une cité sans âme par Sorrentino...

Grosse déception... Pour qui connaît bien Naples, la voir traitée de cette façon, complètement superficielle, ne peut que désappointer... « La Main de Dieu » se rapproche plus de la froideur...

le 10 janv. 2022

10 j'aime

2

takeshi29
2

Et si la laideur se trouvait plutôt dans ton âme... et dans ta caméra

Lentement mais sûrement Paolo Sorrentino est peut-être en train de devenir le réalisateur que j'exècre le plus. Non pas qu'il soit le plus mauvais, car il maîtrise techniquement son affaire, on peut...

le 18 juin 2022

8 j'aime

Slapkanovitch
9

Voir Naples et grandir

L'immensité de la baie de Naples filmée en travelling, telle est l'ouverture du nouveau film grandiose de Paolo Sorrentino. Dès lors nous suivons l'histoire de Fabio Schisa dit Fabietto encore...

le 11 oct. 2021

5 j'aime

5

ThomasBkhl
3

Dieu doit être manchot alors

Quelle déception, mais quelle déception et surtout quel gâchis. Comment ? Je veux savoir comment l’homme qui a fait la Grande Bellezza peut nous pondre un truc aussi pathétique ? Ça parle à peine de...

le 15 déc. 2021

4 j'aime

StivianKostadinov
9

Ouf, ce n'était pas un film sur le foot.

Dans ce film nous n'allons pas enchaîner les images d'archive pour regarder l'argentin jouer du pied mais savourer un morceau de l'enfance du glorieux italien qui dirige la caméra. Paolo pour notre...

le 16 déc. 2021

3 j'aime

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