la grande bouffe, un film surréaliste sur bien des points. à la manière d'un Luis Buñuel peut-être, dans la manière de dépeindre une société malade par la consommation et l'argent, et dans les décors d'un manoir immense entourée de statues très érotique qui éveille notre curiosité, quatre hommes tous différents les un des autres avec une blessure profonde souvent liée à leur mode de vie, mais tous venant d'un milieu aisée désire mourir ensemble en s'adonnant à la luxure. celle de la nourriture et du sexe. une mort douce a première vu mais finalement grossière et très difficile . les accompagnant , andrea une petite institutrice simple et aimante a la manière d'une mère nourricière , mais qui ce révèle étonnamment perverse au cours du film. au début elle est la en tant q'invité, mais prend un rôle de plus en plus important dans le destin des quatre hommes. c'est elle qui est présente a chaque fois qu'un des personnages principaux est dans ces dernier retranchement, donnant presque la mort au deux dernier survivant. ce film est très dur a regarder mais on est comme fascinée par la tournure que prend les événement et on ce demande jusqu’où il va nous menée... tous cela bien sur mené par quatres grand acteurs à leurs apogées dans les années 70. ce film gagnera le prix de cannes en 1973 mais il sera huée et jugée puis au fil des années il obtiendra le statut de film culte bien mérité. j'ai eu envie de regarder ce film après avoir regardé un documentaire sur philippe noiret qui dans une scène face aux public de cannes qui le huée, dis cette phrase qui m'a beaucoup intriguée « Nous tendions un miroir aux gens et ils n'ont pas aimé se voir dedans. C'est révélateur d'une grande connerie ». je ne regrette pas de l'avoir vu !
maloryknox
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le 24 avr. 2013

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