Critiques de La Fièvre de Petrov

Sergent_Pepper
7

Bitter heat symphony

Leto, sensation du Festival de Cannes 2018, avait certes un peu préparé le terrain pour appréhender le cinéma de Kirill Serebrennikov : lyrique, rageur, musical, ample et habité. Pourtant, ce nouvel...

le 1 déc. 2021

37 j'aime

takeshi29
8

Kirill Serebrennikov m'a encore mis la fièvre, pendant des heures...

Kirill Serebrennikov devrait demander à ne plus faire partie de la compétition cannoise. Déjà en 2018 le jury avait totalement snobé son immense "Leto", ratant ainsi une occasion de couronner un film...

le 8 nov. 2021

35 j'aime

12

Theloma
8

Russian night fever

Kirill Serebrennikov a adapté le roman d’Alexeï Salnikov, Les Petrov, la Grippe, etc., une œuvre littéraire très proche de son propre univers, où réalité et fantasmes se côtoient. Le film qu’il en...

le 6 déc. 2021

21 j'aime

8

mymp
2

Fièvre affreuse

Hey, t’as vu comment tu t’es encore bien fait avoir ? T’as vu comment tu t’es fait berner en beauté, comment t’as l’air débile à croire monts et merveilles pour quelques belles paroles et autres...

Par

le 6 déc. 2021

11 j'aime

2

Procol-Harum
7

Veisalgie des temps modernes

Fiévreuse, la mise en images de Kirill Serebrennikov l’était déjà dans Leto, comme en témoignent ces éruptions incessantes de couleurs, de textes et de notes dans un réel désespérément cousu de noir...

le 14 déc. 2021

9 j'aime

4

lugdunum91
5

La Fièvre de Petrov : Entre rêve et réalité

144eme film de l'année et découverte entre potes de ce film russe aperçu au Festival de Cannes, attention il n'est pas forcément facile d'accès et pour tout le monde. Affaibli par une forte fièvre,...

le 7 déc. 2021

6 j'aime

6

Cinephile-doux
5

Grippe carabinée

Toujours empêché de voyager hors des frontières russes mais "autorisé' à tourner, Kirill Serebrenikov, avec La fièvre de Petrov, risque de désorienter les amoureux du sublime Leto qui ignoreraient...

le 10 nov. 2021

5 j'aime

William-Carlier
7

La fièvre des temps

La Fièvre de Petrov est une véritable expérience de cinéma, à la fois déconcertante et il faut le reconnaître, parfois épuisante tant Kirill Serebrennikov use de ses effets de mise en scène, pour...

le 1 déc. 2021

5 j'aime

JanosValuska
1

Il est difficile de ne pas devenir fou.

Il est rare de se sentir sale au sortir d’une salle de cinéma. A moins d’avoir ingurgiter du popcorn, évidemment. Ou à moins que le film soit un gros brulot de droite puant. Mais se sentir sale à...

le 13 févr. 2022

4 j'aime

1

Contrechamp
7

Dostoïevski sous antidouleurs

Dans un bus surchargé, une contrôleuse de tickets – déguisée comme la « Reine des Neiges » – se faufile de sa gouaille entre des passager.e.s échauffé.e.s. Dans ce microcosme étouffant,...

le 30 nov. 2021

4 j'aime