Je suis désolé pour mes éclaireurs (7.7 de moyenne pour eux), mais je ne suis définitivement pas adepte de ce type d'épouvante... :'( Les flashs de 5 images secondes gores ou "effrayantes" pour simuler la folie et les cauchemars me fatigue. La gestion exaspérante du son ou il faut augmenter le volume pour entendre quand les personnages parlent, pour mieux nous...
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Critique de L'Antre de la folie par Caine78
On pourra toujours reprocher à cet « Antre de la folie » de ne pas avoir fait dans la finesse ou de s'être compromis dans l'excès. Oui, mais c'est justement là tout le brio de John Carpenter : alors que le récit aurait pu rapidement tomber dans le n'importe quoi, ce dernier joue habilement des clichés pour mieux les détourner et nous offrir un spectacle souvent étonnant, pas forcément...
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Manque de finesse ...
Les idées sont intéressantes (un livre qui rend fou , le pouvoir de l'imaginaire,..) , mais l'univers est trop décalés, manque de crédibilités, on ne voit pas d’évolutions dans la folie des personnages , et l'univers d'horreur est trop présent (trop vite?) pour emporter le téléspectateur dans la propre folie des héros. On se retrouve spectateur de gens en plein délire, mais seulement...
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Hommage à la folie
Il suffit de se pencher sur L'Antre de la folie pour voir qu'il s'agit d'un film d'angoisse, mais pas que. J'avais découvert les écrits de H.P Lovecraft un peu avant de visionner ce film, et l'hommage fait ici aux œuvres de ce dernier est plus qu'évident. Je trouvais d'ailleurs intéressant que le scénario ne soit pas une adaptation directe d'une de ces œuvres. Carpenter ici choisit plutôt de...
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Enfermement mental.
Ce film nous conduit au cœur d'une psychose terrible et implacable. Un homme se perds et nous perd dans son esprit face à des forces - imaginaires ou pas- qu'il est incapable de combattre...
Véritable hommage à l'œuvre d'H.P. LOVECRAFT ce film transpire la folie et al confusion mentale, et nous prends au piège de l'horreur fantasmagorique.
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Hello darkness, my old friend.
Je suis complètement fan. Carpenter me semble bien avoir un projet de cinéma, et il est passionnant. Carpenter a tout compris au cinéma de genre, il y a une maîtrise totale de ses effets : si on frissonne tant, encore aujourd'hui, c'est parce qu'il y a toujours un élément réel (de notre réalité je veux dire) qui est présent dans la scène et qui rend tout incongru, bizarre, malsain. Le film...
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ouais des fois jaime iemb faire des critiques un minimum intelligentes
viendez pas vous plaindre comme quoi c kitsch et tout deja c un film de carpenter le mec il fait des series b c normal (si vous aimez pas les series b allez vous faire enculer regardez pas de cinema et retournez dormir devant harry potter les enfants) et genre c un film fantastique d'univers avant tout. donc la ou le kitsch fait sens c sûrement dans la diegese de l'univers qui definit...
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La réalité par la fiction
Il est passionnant de retrouver, dans le travail d’un réalisateur, une même thématique réinvestie et déclinée au fil des films comme le peintre joue de sa palette et des contrastes engendrés pour peindre toujours le même tableau décliné seulement. Car ce qui fascine Carpenter c’est le Mal. Qu’il apparaisse sous un masque blanc ou dans la brume portuaire, le Mal constitue l’invité de choix à...
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Si vous lisez cette avis vous serez peut-être contaminés
Après nous avoir fait découvrir Fog, New York 1997, Starman, Christine ou encore The Thing, John Carpenter sort en 1994 le film L'antre de la folie reprenant les codes qu'il à pour habitude de nous montrer le genre...
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Pot-Pourri
L'antre de la folie, c'est un peu un pot-pourri de cinéma horrifique. Avec cette histoire de romancier d'horreur dont l'univers devient soudainement réel, Carpenter devient alors autorisé à utiliser un bestiaire vaste et se permet de mélanger les styles sans que cela n'apparaisse comme étant artificiel. Imaginez Jack Torrance, Annie Wilkes, Carrie White, Randall Flagg et le Clown de Ca dans...
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