Knight of Cups par Eric31

Knight of Cups* est un très beau (visuellement) film dramatique américain écrit et réalisé par Terrence Malick qui met e scéne (sur une superbe photographie de Emmanuel Lubezki (Sleepy Hollow de Tim Burton et Gravity d'Alfonso Cuarón) et superbe musique composée (entre autres) par Wojciech Kilar “Exodus” pour le thème récurent du film...) qui met en scéne un scénariste (joué par Christian Bale) en crise de foi qui est hanté par la mort de l'un de ses frères... et qui erre en plein doute existentiel d'une femme a l'autre (joués par les actrices Cate Blanchett (Nancy son ex femme), Imogen Poots (Della l'une de ses conquêtes... la premiere dans le film), Teresa Palmer (Karen la stripteaseuse Australienne au caractère positif), Natalie Portman (Elizabeth... la femme qui serait tomber enceinte de qui ???) et Freida Pinto (Helen le mannequin bouddhiste...)... Tout en gérant le conflit familial entre son autre frère Barry (joué par Wes Bentley) et son père Joseph (joué par Brian Dennehy) rongé par la culpabilité de la mort de son fils Billy... Résumé très sommaire de ce film pas très évident qui est le troisième d'une trilogie (qui ses compose de The Tree of Life (pour le meilleur), À la merveille (To the Wonder) et celui ci) centrée sur une sorte de quête de sens de la vie... qui est sous la forme d'une coordination poétique, mystique et sensorielle sur les vertus de la foi et la vanité (représenté par le personnage d'Antonio Banderas)... Voila tout ce que j'ai compris de ce long métrage qui est très superbe visuellement.
* a noter pour une certaine compréhension que... le titre du film fait référence à la carte de tarot "Knight of Cups", soit le chevalier de coupe... qui est la première phase de la carte Knight of Cups représente le changement amoureux : des invitations, des propositions et des opportunités. Il s'agit d'une personne qui s'ennuie constamment mais qui apporte des idées, des opportunités et des propositions. C'est aussi quelqu'un de raffiné, aimable, intelligent, rêveur, qui a tout le temps besoin d'être stimulé... Ce qui donne une explication aux chapitrages du long métrage de Terrence Malick.