Treize ans. Treize longues années ont été nécessaires à Leos Carax pour revenir au cinéma français accompagné d’un long-métrage sélectionné au Festival de Cannes 2012. Et quel long-métrage ! Holy Motors nous présente l’ancien enfant terrible du cinéma français tout juste remonté des limbes. Car c’est bien de lui-même qu’il nous parle dans ce film et dès le prologue : au-dessus d’une salle de...
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Si près, si loin...
Revoilà Léo Carax de retour derrière la caméra 13 ans après son dernier film "Pola X". Présenté au festival de Cannes sans y recevoir de prix, Holy Motors" nous fait suivre un homme, monsieur Oscar, qui va endosser plusieurs costumes et vivre plusieurs vies.
Expérience assez bizarre que ce "Holy Motors". Leo Carax a le don d'à la fois me fasciner mais en même temps de m'ennuyer. S'ouvrant sur...
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Au bal masqué
De quoi parle Holy Motors ? Difficile de répondre du tac au tac à cette question tant la dernière œuvre de Leos Carax sort des sentiers battus cinématographiques contemporains avec un regard parfois pessimiste, amer (aigri ?) sur la place de l’humain dans un monde virtuel sans visages. Holy Motors est un film mortifère qui aux premiers abords nous gratifie de son chant du cygne sur disparité...
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Leos qu'arrache - On dit que la beauté est dans l'œil, dans l'œil de celui qui regarde
L'exercice de la critique s'avère extrêmement compliqué face à une telle œuvre. En effet, on peut être tenté de théoriser, d'analyser, de se livrer à une masturbation cinéphilique en égrainant les références.
Mais appréhender ainsi "Holy motors" est selon moi une erreur. A trop vouloir intellectualiser l'art, on passe parfois à côté.
Au même titre qu'un Weerasethakul ou qu'un Assayas *, on...
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Les arcanes du bloc moteur
En 2012, le monde a oublié Leos Carax. À l’exception d’un moyen métrage publié dans le film collectif Tokyo ! en 2008, le cinéaste n’est parvenu à financer aucun projet depuis 13 ans. Le retour au cinéma se paiera d’ailleurs pour lui d’une importante concession, puisqu’il accepte à contre-cœur de filmer en numérique pour réduire les coûts et rassurer...
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S'ériger en art triste
Holy brius
L'étrange est sans doute la notion la moins bien partagée au monde.
Expliquez à vos proches (enfants adolescents, voisins) gavés de télé-réalité ou de téléfilms avec Thierry Neuvic, qu'en plein après-midi vous allez vous enfermer dans une pièce pour y regarder sur grand écran le dernier Carax (et comme ils ne voient pas de quoi vous parlez, vous leur montrez la...
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Au lit, motors !
Je ne vais pas écrire une grande critique : pas besoin de vous ennuyer sous le prétexte que je me suis ennuyé devant ce film.
Incontestablement, Holy Motors a des qualités. D'abord, l'acteur est tout bonnement exceptionnel. Denis Lavant réussit une suite impressionnante de performances diverses et variées, dans des registres très différents les uns des autres. A chaque fois, il fait preuve d'une...
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Holy retors
Je n'ai aucune légitimité satisfaisante pour étaler une critique constructive et pertinente sur ce film en perspective avec ses aspirations auteurisantes mais je n'ai rien contre Carax et je n'ai rien non plus contre Denis Lavant. Ils ne m'énervent pas plus que ça et c'est déjà un avantage certain, car croyez bien que pour un pauvre provincial comme moi, apprécier le jeu tout empreint de...
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Machins et machines
Est-il d'action plus difficile que celle d'aller, comme on dit, "Corps et âme" ? Rien n'est plus proche mais différent que le Corps d'une part, et l'Âme de l'autre. Holy Motors qu'on peut aborder d'abord comme une métaphore élégante du métier d'acteur se dérobe rapidement de cette analyse théorique et froide, car, fut-elle pertinente à la lecture du script, elle ne résiste aucunement au passage...
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Le théatre des rêves
Leos Carax, cinéaste sulfureux et controversé revient en 2012 après treize ans d'absence avec "Holy Motors", film extrêmement singulier, complexe, malin et mystérieux.
Il raconte l'histoire de Oscar (Denis Lavant) un homme exécutant des contrats en jouant différents rôles du quotidien, il enchaîne les prestations diamétralement opposées, la limousine l'emmène aux quatre coins de Paris...
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