Critiques de Hitokiri, le châtiment

Sergent_Pepper
8

L’impact des loups.

La figure du samouraï a souvent été associée à la sagesse, la mesure et un code de l’honneur hors norme. Egratignée par celle du Yôjinbô de Kurosawa, c’est dans cette lignée que s’inscrit le Ronin de...

le 14 avr. 2015

32 j'aime

2

nihoneiga
10

Critique de par nihoneiga

Hitokiri est le sommet de l'édifice filmographique de GOSHA Hideo. Un monument rageur et sensitif qui finit de détruire à jamais le mythe du samouraï tel que les jidai geki d'antan s'évertuaient à le...

le 28 mars 2011

16 j'aime

2

BaNDiNi
9

Critique de par BaNDiNi

Un magnifique film de sabre interprété par deux acteurs aux charismes hallucinants (l'immense Shintaro Katsu et le "toujours fiévreux" Tatsuya Nakadaï), brillamment écrit et mise en scène par Hidéo...

le 10 mars 2011

5 j'aime

Morrinson
7

Servitude aveugle d'un ronin bourrin

Hitokiri est une grosse gourmandise offerte par Hideo Gosha dans le registre du chanbara iconoclaste, pas nécessairement de la trempe des Trois Samouraïs hors-la-loi ou Le Sabre de la bête pour...

le 12 mars 2024

3 j'aime

EricDebarnot
6

Sous influence leonienne ?

Modèle du film de sabre japonais intelligent, "le Châtiment" nous propose une relecture très 70's (soit sous influence leonienne, et non dénué d'ambitions politiques et symboliques) de l'époque de la...

le 14 avr. 2015

2 j'aime

Arnaud_Mercadie
9

Expulsion de la bête non triomphante

Avec ce second visionnage, je trouve toujours fou que Hideo Gosha enchaine ainsi coup pour coup, avec Goyokin, deux tels chefs-d'oeuvre du genre, surtout qu'ils s'imbriquent parfaitement dans ses...

Par

le 21 avr. 2017

2 j'aime

Procol-Harum
8

Le chien de garde qui rêvait d'être un homme

L'année 69 est une année bénie des dieux pour Hideo Gosha, puisqu'en l'espace de quelques mois le cinéaste va signer un remarquable et fascinant diptyque composé de "Goyokin" et "Hitokiri". Deux...

le 1 août 2023

1 j'aime

YasujiroRilke
5

Critique de par Yasujirô Rilke

À la fois variation sur le motif du personnage de Kikuchiyo dans "Les 7 samouraïs" et déclinaison du "Goyokin" du même Gosha, ce samurai-eiga réinvente sagement le genre mais, surtout, fascine par la...

le 14 août 2020

1 j'aime

JoggingCapybara
8

Nihilisme et ses drôles de drames

Rarement cité parmi les maitres du cinéma japonais, Hideo Gosha déballe pourtant, dans chacun de ses plans, un savoir faire à laisser déborder de jalousie n’importe qu’elle forme de concurrence. Dans...

le 1 juil. 2020

1 j'aime

zardoz6704
6

Beau, mais traîne en longueur.

J'ai entendu un cinéaste français dire que pour lui, Tenchu (ou Hitokiri, les deux titres coexistent) était le shambara ultime. Je l'ai donc regardé, par curiosité. Pour découvrir qu'il faisait 2 h...

le 21 mai 2016

1 j'aime