Hara qui rit
Furyo c’est d’abord un thème musical magnifique qui vous titille les lacrymales pendant tout le long du film. De plus, au-delà d’un film de guerre et d’une histoire de confrontation entre deux...
le 2 sept. 2013
51 j'aime
1
Nagisa Oshima signe un film d’un ennui sans précédent. J’ai tenté pourtant de trouver un intérêt à Furyo mais difficile de tenir devant cette trame mal exploitée. Et ce ne sont pas les flashbacks du major Celliers qui attesteront du contraire. Ces scènes longuettes et répétitives, tentant d’instaurer une fausse émotion, sont vaines et inutiles. Pourtant il y avait certainement matière à construire un film bien plus profond avec ce flottement sentimental entre Yonoi et Celliers dans ce contexte particulier. Il y a ce côté superficiel qui rend difficile l’attachement aux personnages, tout autant qu’aux histoires. S’il n’y avait qu’un intérêt dans Furyo c’est celui d’assister aux premiers pas d’un jeune acteur Kitano, devenu depuis enfant chéri d’un pays… Offrant en passant l’unique instant marquant du film.
http://made-in-asie.blogspot.fr/2010/05/furyo-nagisa-oshima-japon-avis.html
Créée
le 22 oct. 2012
Critique lue 344 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Furyo
Furyo c’est d’abord un thème musical magnifique qui vous titille les lacrymales pendant tout le long du film. De plus, au-delà d’un film de guerre et d’une histoire de confrontation entre deux...
le 2 sept. 2013
51 j'aime
1
Si l'on m'avait dit, avant de connaître SC, qu'un jour j'irais me manger dix heures de train en un week-end, juste pour aller à Strasbourg rencontrer des inconnus et voir avec eux un film Japonais de...
Par
le 23 mars 2015
44 j'aime
31
Co-production entre le Japon et la Grande-Bretagne, "Furyo" est adapté de deux ouvrages signés Laurens Van der Post, qui revenaient sur l'expérience de l'auteur pendant la seconde guerre...
Par
le 21 mars 2015
38 j'aime
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
30 j'aime
2