Ce film correspond à peu près à ce que j'en attendais. Des plans fixes, longs, beaux, de soldats attendant dans un camp. La tête de David Bowie dépassant du sol à la fin.
Petit résumé, quand même. L'île de Java a été prise par les japonais, les rares prisonniers occidentaux sont parqués dans un camp et affamés, les japonais n'ont pas signé la convention de Genève (et oui, comment faire de la...
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今夜、私はFATHER CHRISTMAS
Ce chef-d’œuvre m'est apparu pour la première fois en 2003, j'ai goûté un extrait du film et de la musique dans l'adaptation du roman de Nothomb « Stupeur et tremblements », que je regardais tout seul comme un con en plein après-midi, alors que tous mes potes clopaient ou brûlaient des poubelles. Dix secondes ? Un peu plus peut-être ? Assez pour me donner les frissons : musique, acteurs,...
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Critique de Furyo par Alligator
Je n'ai pas accroché. J'ai longtemps cru à un remake du pont de la rivière Kwaï. La confrontation occident/orient, philosophiquement parlant y est peut-être un peu plus poussée... disons surtout entre deux orgueils, deux impérialismes. Or, il m'a paru que l'arrogance britannique et l'ethnocentrisme nippon dans un dialogue de sourds incessant ne reflètent qu'une infime part de vérité. Et à la...
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Critique de Furyo par Ameli
Furyo est pour moi un véritable chef d'oeuvre. Chaque scène comporte son lot d'émotion forte, j'ai beau avoir vu ce film mille fois, j'en ressens toujours autant de frissons. Le duel amoureux entre David Bowie et Ryuichi Sakamoto est intense et la B.O. magnifique.
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Malgré la guerre
Nagisa Ôshima a su traité avec brio les conflits que peu générer la différence de culture.
A travers ce camp de prisonniers britannique, nous côtoyons les différentes cultures des uns et des autres, le racisme, la jalousie,... en sommes tout ce que nous avons au quotidien et qui démontre un signe de grande faiblesse qui empêche toute situation d'évoluer. Peut-être était ce la façon pour le...
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Critique de Furyo par h0lycheat-X5
Ce chef-d’œuvre m'est apparu pour la première fois en 2003, j'ai goûté un extrait du film et de la musique dans l'adaptation du roman de Nothomb « Stupeur et tremblements », que je regardais tout seul comme un con en plein après-midi, alors que tous mes potes clopaient ou brûlaient des poubelles. Dix secondes ? Un peu plus peut-être ? Assez pour me donner les...
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Le cœur des hommes
J'ai toujours adoré les films qui parlent des guerres , dans lesquels , il nous est donné de voir très peu la guerre, mais de voir l'âme , l'esprit , le cœur des hommes.Furyo résume à lui tout le seul , le non sens des guerres, dans lesquelles , ces vies d'hommes si précieuses perdent toutes valeurs , et ce quelque soit le camp et la culture . Tant de sujets traités ici et de si belle facture !...
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Major Celliers to Captain Yonoï
Avec originalité et sensibilité, Oshima filme cette confrontation entre deux cultures opposées avec le plus de recul possible. C'est très intéressant de voir les anglais à travers la caméra d'un japonais. Bercé par la BO magnifique de Ryuichi Sakamoto, ce film de camp fait naître deux relations singulières. La première, et la plus importante (aux yeux d'Oshima), est contenue dans une atmosphère...
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Critique de Furyo par IllitchD
Nagisa Oshima signe un film d’un ennui sans précédent. J’ai tenté pourtant de trouver un intérêt à Furyo mais difficile de tenir devant cette trame mal exploitée. Et ce ne sont pas les flashbacks du major Celliers qui attesteront du contraire. Ces scènes longuettes et répétitives, tentant d’instaurer une fausse émotion, sont vaines et inutiles. Pourtant il y avait certainement matière à...
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Il est Beau oui mais c’est tout.
Alors là il faudra m’expliquer: je ne devais pas être dans de bonnes dispositions,ou alors je suis insensible au “charme” de ce film.
En tout cas je me suis bien ennuyée, le sujet était loin de me passionner, et la VF sentait fortement le formol des années 80.
Bref ça ne donnait pas envie, ça ne collait pas avec mon humeur du moment.
Alors ok David Bowie est charismatique, ok certains...
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