Comment trouver un époux pour la fille et pour la veuve d'un ami cher quand on est soi-même émoustillé par la première ou amoureux de la seconde ? Sur ce sujet de comédie, Ozu construit une œuvre d'une stupéfiante beauté plastique quasi entièrement faite de carrés, à un point jamais atteint dans les autres films du réalisateur japonais, notamment parce que l'action se déroule surtout dans des intérieurs. Presque systématiquement, le rapport d'image de 1,37 : 1 est réduit à un carré, tantôt... Lire la critique de Fin d'automne