Eté précoce s’avère une petite réussite agréable. Les personnages y sont attachants, on se délecte de leur quotidien avec facilité. Yasujiro Ozu développe également une mise en scène moins statique visuellement parlant, offrant des mouvements de caméra qui dynamise l’ensemble.


http://made-in-asie.blogspot.fr/2010/08/ete-precoce-ozu-yasujiro-avis.html

IllitchD
8
Écrit par

Créée

le 22 oct. 2012

Critique lue 564 fois

5 j'aime

IllitchD

Écrit par

Critique lue 564 fois

5

D'autres avis sur Été précoce

Été précoce
Plume231
8

Ozu s'était pleinement trouvé !!!

La famille, le mariage avec une pincée de conflits entre les générations, inutile de vous présenter les thématiques d'Ozu, inutile de vous présenter aussi la style filmique d'Ozu avec ses cadrages au...

le 12 mars 2014

12 j'aime

Été précoce
Maqroll
9

Critique de Été précoce par Maqroll

Un film familial et intimiste d’Ozu, filmé comme toujours à quatre-vingts centimètres du sol en plans fixes (deux ou trois travellings tout de même, notamment lors de la fugue des enfants, mais très...

le 14 juil. 2013

11 j'aime

Été précoce
Morrinson
7

Le retour de Noriko aka Hara

Le cinéma d'Ozu est probablement bien défini, en première instance mais aussi, je trouve, de manière tout à fait valable, comme des variations plus ou moins marquées autour des mêmes thèmes qui...

le 14 déc. 2023

10 j'aime

2

Du même critique

L'Enfer des armes
IllitchD
8

Director’s cut

Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...

le 31 janv. 2013

31 j'aime

2

A Bittersweet Life
IllitchD
5

Critique de A Bittersweet Life par IllitchD

Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...

le 28 mai 2013

31 j'aime

The Murderer
IllitchD
6

Critique de The Murderer par IllitchD

The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...

le 11 févr. 2013

30 j'aime

2