Treize ans après " Un si doux visage', Otto Preminger revient au suspense avec ce thriller psychologique en noir et blanc. Remarquablement mené et interprété, il maintient le doute et tient en haleine jusqu'à son dénouement. Un remake mis en scène par Joe Carnahan en 2012. L’interprétation de Laurence Olivier, aussi sobre que le film est psychotique.


Blockhead
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs films des années 1960, Les meilleurs thrillers, aller hop direction ma Cinémathèque, Top 10 Films et Légende : Back to Classics

Créée

le 30 avr. 2016

Modifiée

le 13 févr. 2024

Critique lue 197 fois

Blockhead

Écrit par

Critique lue 197 fois

D'autres avis sur Bunny Lake a disparu

Bunny Lake a disparu
Moizi
8

Jeux d'enfants

Preminger frappe encore une fois assez fort avec ce film-ci, très habile, très bien traité et surtout superbement mis en scène. Le film commence lorsqu'on a une jeune mère, plutôt pas mal faut bien...

le 24 oct. 2015

12 j'aime

1

Bunny Lake a disparu
Thaddeus
8

L’enfance pandémoniaque

De prime abord, Bunny Lake a disparu renoue avec la tradition du Preminger intimiste, à l'action resserrée, après la série de fresques imposantes que constituèrent Exodus, Tempête à Washington ou Le...

le 3 janv. 2016

11 j'aime

Bunny Lake a disparu
greenwich
9

Bunny Lake a disparu (1965)

Bunny Lake est un petite fille de 4 ans. Ann Lake sa mère vient d'arriver à Londres et elle amène sa fille à l'école et la laisse seule dans une salle. Lorsqu'elle revient à midi, Bunny a disparu,...

le 1 juil. 2014

8 j'aime

Du même critique

Les Diaboliques
Blockhead
10

Critique de Les Diaboliques par Blockhead

Du roman de Boileau-Narcejac, Henri-Georges Clouzot tire un monument de noirceur et d'angoisse porté par les performances mémorables d'un trio infernal entouré, entre autres, d'un débutant dénommé...

le 15 avr. 2016

9 j'aime

Edward aux mains d'argent
Blockhead
10

Critique de Edward aux mains d'argent par Blockhead

Sous la forme d'un conte de fées moderne, Tim Burton aborde le thème de l’exclusion. Adoptant un parti pris esthétique original, cette fable dotée d’une étonnante composition de Johnny Depp est un...

le 2 déc. 2015

8 j'aime

Gilda
Blockhead
10

Critique de Gilda par Blockhead

Rita Hayworth, d'une beauté flamboyante, aussi glamour que vénéneuse, sublime et enflamme ce film noir tout en mystères et en sous-entendus, où chacun des personnages révèle peu à peu sa vraie...

le 26 déc. 2019

7 j'aime

5