Ma mise à mort programmée (ou vais-je me faire "casser" ?)

Eh bien ça y est, nous y voilà ! Voici la critique qui va soit signer mon arrêt de mort sur ce site soit au contraire me proclamer comme défenseur ultime de bons films incompris. Ce sera à vous de juger mais avant de hurler sur ma note, je l’avoue volontiers, trop généreuse, laissez-moi vous expliquer pourquoi j’adore ce film…


Avant d’aller plus loin, je vous préviens que je spoile quasiment tout mais bon d’un autre côté vous l’avez (normalement) tous déjà vu. Non ?



De l’importance du contexte



Brice de Nice, avant d’être un film, c’est un personnage de fiction. Un surfeur arrogant originaire de Nice (sans blague) créé par Jean Dujardin et apparu pour la première fois à la télé dans les années 90 puis dans le groupe d’humoristes Nous Ç Nous. Face au potentiel du personnage et à sa popularité croissante due au bouche à oreille, Dujardin tente l’aventure sur grand écran. Et c’est le 6 Avril 2005 que Brice débarque dans les salles derrière la caméra de James Huth qui signe là son deuxième film après Serial Lover. Le résultat est sans équivoque : énorme carton au box-office avec plus de 4 millions d’entrées et un personnage qui deviendra iconique au fil des mois. Il était effectivement de plus en plus fréquent dans la deuxième moitié de la décennie 2000 d’entendre dans les cours d’école des « J't’ai cassé ! » ou encore des « T’es comme dans le H de Hawaï, tu sers à rien ! ». Brice de Nice devient donc une grande comédie populaire et il était très difficile à l’époque de sa sortie de passer à côté. Mais alors que tout semblait aller pour le mieux pour le surfeur une chose importante est venu noircir le tableau : la réception critique. Parce que, c’est bien connu, tout ce qui est populaire est très souvent rejeté et traîné dans la boue par les gens qui aiment le « vrai » cinéma. Le fait est que le film fut très mal reçu par le public (contrairement à la presse un peu plus clémente :o), ce qui a très vite entaché sa réputation et l’a rangé presque définitivement dans la case « film débile » ou encore « comédie française populaire merdique ». Et l’on peut comprendre cette réaction, j’avoue ne pas me souvenir s’il y a vraiment eu un matraquage médiatique mais ce dernier a pu dégoûter plein de personnes et c’est normal. Mais tout ceci importe peu finalement, cette première partie était juste pour m’auto-convaincre que si le film est autant détesté c’est parce qu’à l’époque de sa sortie tout le monde en a fait des caisses en balançant des répliques à tout bout-de-champ et que cela a énervé beaucoup de gens qui l’ont descendu en flèche sans prendre la peine de le revoir quelques années plus tard.



Un nouveau visionnage éclairant



Et pourtant, je vous assure que vous devriez essayer de le revoir aujourd’hui avec du recul, surtout si vous avez le souvenir de l’avoir détesté. Pour ma part, je crois me souvenir qu’à l’époque, je trouvais le film très drôle mais aussi très con et vu que j’étais jeune je trouvais ça trop cool quand même. Mais c’est en 2014 que tout a basculé, soit l’année où j’ai commencé à vraiment m’intéresser au cinéma. C’est à partir de cette année que j’étais en quête de nouveaux films et surtout de nouveaux genres loin des blockbusters, films de super-héros ou autres comédies. Et sans me rappeler pourquoi, j’ai voulu revoir le film de James Huth et, là, c’est la révélation !
Parfois, lorsque l’on revoit un film, il y a un visionnage qui change tout, celui qui vous éclaire sur la vraie nature du film et c’est ce qui est arrivé avec Brice de Nice. Alors attention, je ne crie pas au chef d’œuvre et je ne dis pas que le film est parfait, on est loin de tout ça, mais cette haine me paraît totalement injustifiée. Allons-y donc pour la critique détaillée où nous allons revenir sur (presque) chaque scène du long métrage et cela vous montrera bien que j’ai raison et que vous…
Oh ! Non pardon, il ne faut pas dire ça. Je vais juste vous exposer des arguments et ça sera à vous de me dire si ils sont pertinents ou non.



Pourquoi j’adore Brice de Nice ?



Avant toute chose, un mot sur la musique, parce qu’avant de voir la première image du film on entend ces tambours lourds et le début d’un thème épique. Rien que ce thème résume presque tout le film, cette musique se révèle donc plutôt épique avec ces voix d’orchestre et ces sonorités tribales et pourtant, si l’on tend l’oreille, on réalise que ces voix chantent du charabia pur. Qu’est-ce que cela nous dit dès le début ? Qu’il faut toujours faire attention à ce que l’on nous montre. De là à affirmer que James Huth nous dit : « Vous pensez regarder une comédie à la con totalement débile ? Vous allez voir ! » il n’y a bien sûr qu’un seul pas que je ne franchirai pas. Nous reviendrons sur la musique un peu plus tard mais restons sur la scène d’introduction. Déjà, le film commence par un plan séquence, c’est quand même assez rare dans ce genre de comédie non ? Et en un seul plan de 30 secondes, sans qu’aucun mot ne soit prononcé, on a déjà presque tout un contexte :



  • Un personnage qui est dans son élément : la plage et surtout la mer qui est dévoilée par un mouvement de caméra horizontal

  • Un personnage tout-puissant largement au-dessus des autres (en l’occurrence les nettoyeurs de la plage mais j’y reviendrai)

  • Un personnage qui tutoie (littéralement) le soleil

  • Et enfin, un personnage qui pratique la « casse »


Rien que cette introduction est sous-cotée. Outre le fait que la musique énoncée plus tôt soit géniale, en à peine 30 secondes, on comprend quasiment tout ce qu’est le personnage que l’on va suivre pendant 90 minutes et ça c’est fort !


Vient ensuite une scène, je dois bien l’avouer, peu subtile à base de demoiselle charmante et d’érection mais, encore une fois, j’y reviendrai car ce n’est pas une scène gratuite. S’en suit la routine d’une journée ordinaire dans la vie de Brice accompagnée de la chouette chanson Surf City et l’on apprend plusieurs autres choses sur Brice :



  • Il a un univers à son effigie

  • Il est fan de Bohdi (celui de Point Break)

  • Il aime le surf

  • Il semble être un connard imbu de lui-même mais pas trop non plus (en témoigne le plan sur les brioches où il les jette quasiment toutes par terre et on se dit « Mais quel salaud ! Il gâche toute la nourriture ! » alors qu’en fait il les a jetés pour nourrir les oiseaux, à moins que ce ne soit involontaire mais je n’y crois pas)


Il arrive donc au bord de la mer et plonge dedans avec sa planche de surf, le temps de faire un regard caméra brisant le quatrième mur, ce qui montre bien sa toute puissance, et ensuite arrive ce qui, j’en suis sûr, à fait très plaisir à François Theruel : un vinyle qui dérape. Eh bien oui, pas de vagues en Méditerranée. Sauf que c’est son rêve, à Brice, de surfer une vague sur cette magnifique mer. Nous sommes ensuite initiés à sa répartie légendaire, son succès auprès des filles et ses soirées yellow où il est littéralement le roi. Et là, presque sans prévenir, une première scène clé débarque où l’on voit le père de Brice, c’est alors qu’on devine que le père est richissime et que Brice vit en fait à ses dépens et c’est encore une fois très important pour la suite. On est littéralement en train de suivre « un gosse de riche » qui n’a certainement jamais travaillé et qui n’a pas suivi une scolarité normale. Cela explique déjà pas mal son comportement.
Bref, des péripéties s’enchaînent à base de casse contre casse (une scène quoi qu’on en dise très drôle), de demoiselle qui pète la nuit (peu subtil mais cela montre bien le caractère enfantin et puéril du personnage) et à base de mer toujours aussi calme.


C’est alors qu’arrive enfin LA scène. Certainement une des meilleures du film. Brice revient dans la maison de son père et ce dernier se fait arrêter. Brice aussi passe près de l’arrestation mais son père soutient qu’il ne sait rien parce que « c’est un con ». On peut alors se dire mais quel connard ce papa ! SAUF QUE, juste avant d’être embarqué, le père de Brice lui fait une petite tape discrète derrière la nuque et là BAM nous venons d’assister à l’acte d’un père qui aime son fils et qui lui évite la prison parce qu’en effet, il n’était absolument pas au courant des magouilles de son père. C’est alors que le monde de Brice s’effondre petit à petit : il perd ses « amis », son appartement (et bordel cette scène est poignante surtout avec cette musique), il doit alors « travailler ». Ce qui donnera lieu encore une fois à certaines scènes très drôles, Brice restant encore ce qu’il est. Et il se fera évidemment virer très vite.


Arrive alors la scène de la banque en mode comédie musicale avec cette reprise de Give Me The Night, une scène qui se révèle être à double tranchant car, d’un côté, elle est plutôt jouissive et surprenante, d’un autre côté, elle représente tout le côté commercial du film parce que ce single, on l’a bien matraqué à l’époque bordel. J’en veux aussi à cette scène car si l'on demande à quelqu’un :



  • "Si je te dis Brice de Nice et musique, tu me réponds ?

  • Le Casse de Brice !"


NON ! NON ! NON !


La musique de Brice de Nice c’est Bruno FUCKING Coulais aka le mec qui a composé l’une des meilleures bandes-originales du cinéma Français (Les Choristes pour les deux du fond qui ne suivent pas), nous ne sommes donc pas en présence de Jo le clodo. Parce que parlons-en de cette musique, osez me dire qu’elle n’est pas magnifique. Écoutez Briçalone, Briçagio, Papa Est Parti ou encore Briçovitch et osez me dire qu’on a affaire à une bande-originale lambda de comédie française populaire à la con. Ces musiques résument magnifiquement bien toute la tragédie de l’histoire de Brice, oui, j’ai employé le mot tragédie.



Clovis Cornillac le sauveur



Brice de Nice doit beaucoup à Clovis Cornillac, c’est un fait. Ce qui est assez fou, c’est que toutes les critiques presse énoncées plus haut que j’ai lues louaient sa performance alors qu’on parle d’une comédie française populaire, le mec est vraiment fort. Son interprétation de Marius est excellente et en fait un personnage incroyablement attachant qui arrivera à rendre Brice attachant également, ce qui n’était pas gagné d’avance. Une fois que les deux se rencontrent le film prend (presque) une autre dimension. On va avoir alors droit à un vrai film sur l’amitié et la rédemption. Une fois qu’ils arrivent à Hossegor, Brice va évoluer et se rendre compte petit à petit que ses actions et ses mensonges peuvent avoir des conséquences. Quand Marius se livre à cœur ouvert sur ses problèmes de pied, on sent que Brice est mal car il sait qu’il ne pourra jamais gagner cette compétition de surf mais la possibilité qu’il puisse redevenir quelqu’un à Hossegor prendra le pas sur tout le reste. Les péripéties qui vont suivre seront alors une succession de scènes vraiment drôles et particulièrement les confrontations avec Caius heu pardon Igor campé par un génialissime Bruno Salomone.


J’aurais pu parler de la romance entre Marius et le personnage de Elodie Bouchez plutôt touchante bien que totalement délirante (les pieds, je peux accepter, les oreilles, c’est vraiment trop perché même si on peut y voir un discours pertinent sur la tolérance mais peut-être que je vais un peu trop loin ^^) mais, sans être inutile, elle se révèle moins intéressante que le reste.



Où est ma mer ? (Ah ouais ?)



La scène de la compétition, bien que très courte, se révèle assez horrible. Brice a réussi à embobiner tout le monde pendant plusieurs jours mais, une fois le jour J arrivé, le retour de bâton émerge : il échoue lamentablement et se prend même une vague en pleine tronche (ironie ?). Juste après, il sera secouru par des infirmières et j’aimerais attirer votre attention quelques secondes sur ce que dit Brice à ce moment-là, il crie plusieurs fois : « Où est ma mer ? Ma mer ? ». On se dit alors qu’il essaye de justifier son échec en prétextant que ce n’est pas la Méditerranée. Et moi, j’ai une question : Et s’il parlait de sa mère ? Bah oui, l’a-t-on vu depuis le début du film ? Non. A-t-elle-même été évoquée ne serait-ce qu’une seule fois ? Non plus. D’autant que, s’il disait cela, on garde l’idée que Brice reste un grand enfant qui pleure sa mère. Bon, les sous-titres révèlent évidemment la vérité à savoir que c’est bel et bien « mer » mais je trouve néanmoins l’ambigüité intéressante puisque, dans le commentaire audio du film, James Huth himself révèle qu’il existait une scène coupée où l’on voyait la mère de Brice mais qu’elle fut retirée du montage final parce qu’elle était finalement trop sombre. C’est vraiment dommage, j’aurais vraiment voulu voir cette scène. Bref, Brice rencontre ensuite Bodhi, SON Bodhi, le héros de SON film où il y a tout : Point Break. Brice assume alors ses fautes et perd définitivement toute puissance lorsqu’il se fait « casser » par son Dieu. S’en suit alors deux pures scènes d’amitié vraiment magnifiques étant donné qu’elles sont loin d’être mièvres. La première est avec ce gamin d’Hossegor que Brice a rencontré plus tôt. Et bordel que cette scène est touchante. On assiste à une vraie évolution du personnage totalement matérialisée par cette réplique :



  • "Tu me casses pas ?

  • Non, j’ai pas envie…"


ET CETTE MUSIQUE ! Revoyez la scène et focalisez-vous sur la musique et, encore une fois, osez me dire que ce n’est pas beau. Bref, certainement le meilleur duo du film. Et ce « Brice, t’es le roi de la glisse ! » AHH ! Vous me prenez peut-être pour un fou mais on parle d’une comédie française populaire qui a une réputation de merde et vraiment c’est de la mauvaise foi quand je vois toutes ces scènes d’une grande sensibilité. Les adieux avec Marius sont tout aussi touchants car il a enfin pu découvrir l’amitié, la vraie. Celle qui lui permettra d’être un adulte.


La scène suivante est empreinte d’ironie, il devient nettoyeur de plage (SA plage en plus), vous savez, ceux qu’on voyait dans l’intro. La boucle est bouclée. Et là, miraculeusement, SA vague arrive, celle qu’il attend depuis qu’il a 5 ans. Et bien sûr qu’il arrive à la surfer. On réentend également la musique de l’intro toujours aussi puissante et qui confirme bien l’idée que la boucle est bouclée. Je vous avais bien dit que tout était dit dès le début. Pendant quelques secondes, on se demande alors s’il est mort puisqu’il se fera quand même emporter par une vague géante. Eh bien non, il va même rencontrer son alter-ego féminin Alice de Nice (interprétée par sa compagne de l’époque, Alexandra Lamy) et il terminera le film par une ultime punchline. Bon, je dois vous faire une confidence : je trouve cette fin pétée, mais genre vraiment.
Toute la progression dramatique du personnage est balayée ici en à peine 20 secondes. Pourquoi ? Hein pourquoi ? C’est alors qu’une théorie m’est venue à l’esprit. La suite après la pub…



Et si ?



Ça a l’air cool Comme j’aime, non ? Je sais pas, je n’ai pas de poids à perdre mais ces gens inspirent la confiance. Je veux dire Benjamin Castaldi qui te dit que tu n'as rien à préparer, rien à compter ça donne envie quand même. Enfin bref, et si Brice était mort à la fin ? BAM ! Ce que je veux dire c’est que personne ne survit à une vague comme ça, même pas Brice. Ainsi, et si ces 20 dernières secondes et même, par extension, l’intégralité de Brice 3 n’étaient que dans l’imagination de Brice ? Je veux dire, quoi que vous en disiez, le film reste quasiment crédible du début à la fin si on exclut les parties chantées. Pour rappel, à la fin du 3 (enfin le 2 hein vous avez compris), il se barre en moto volante quand même. C’est totalement fantasque. Le 3 est d’ailleurs plus dans un délire cartoonesque. Un autre argument : Alice. Quelle est la probabilité qu’il croise son alter-ego féminin là, à ce moment très précis, au bout de 30 années passées à Nice ? Il aurait mathématiquement dû la rencontrer bien avant. Ou alors ce fut le cas quand il était très jeune, ce qui expliquerait l’apparence de sa sirène de rêve. Moi, ça me paraît gros. Autre argument, dans une « scène » pendant le générique de fin, on voit Brice enceinte, ce qui reprend le délire de son rêve (tiens donc) avec sa sirène Chantal vu que chez les sirènes, c’est comme chez les hippocampes, c’est le mâle qui porte le petit. C’est totalement impossible dans la vraie vie. D’autant que là c’est Alice et non Chantal, or, Alice n’est apparemment pas une sirène. Vous avez beau dire ce que vous voulez, je vous ai prouvé maintes fois dans cette critique que le film n’était pas si con donc je refuse de croire que c’est une grosse erreur de cohérence. Tout ça pour dire que cette théorie me fait plus apprécier la fin car Brice est donc mort en tant qu’adulte mais restera à jamais au plus profond de lui un grand enfant totalement fantasque. J’aime vraiment cette idée en tout cas. Et ça me fait penser au plan qui est dos à la mer où on le voit sortir du cadre pour aller « affronter » sa vague comme si, métaphoriquement, il laissait derrière lui sa vie bien rangée d’adulte afin de réaliser ses rêves d’enfant.


VOILÀ ! Je pense que personne n’a tout lu mais j’ai enfin pu dire tout ce que je pense de ce film qui, je persiste, est bien plus intelligent que vous ne le croyez. C’est en tout cas toujours un plaisir à visionner et, même s’il me fait moins rire que quand j’étais plus jeune, la découverte de sa dimension tragique en fait un gros coup de cœur personnel. Je vous invite donc à revoir le film et pourquoi pas à regarder son commentaire audio qui m’a été très instructif pour cette critique et SURTOUT à réécouter la bande-originale du film et notamment les musiques de Bruno Coulais.
Ah et au fait...........................................................................................................................................
…....................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................…......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................…...........................................................................................................................................................
Non rien ! Allez hop ça c’est fait ! :p

LeJulien_
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les Films que tout le monde déteste sauf moi et Les meilleures comédies françaises

Créée

le 7 oct. 2019

Critique lue 2.3K fois

4 j'aime

LeJulien_

Écrit par

Critique lue 2.3K fois

4

D'autres avis sur Brice de Nice

Brice de Nice
Le-bloguscribe
1

Cassééééé! Mais TA GUEULE OSEF!

Un film qui réussit à cumuler toutes les tares: - mal joué, - moche graphiquement, - mal joué - pas drôle, - mais vraiment pas drôle - titre de m**** - titre imprononcable (le dit-on à...

le 18 nov. 2010

42 j'aime

11

Brice de Nice
socrate
2

Retourne dans ta hutte James ! Mouarf mouarf mouarf. J't'ai cassé !

Non, franchement, les surfeurs n'ont pas mérité ça. Non mais franchement, c'est vraiment n'importe quoi. C'est quoi ce film, à part un scenario de merde et une suite de plus ou moins bon jeux de mots...

le 22 juil. 2011

27 j'aime

18

Brice de Nice
Karrie
1

Je préfère "owned", moi.

Quelque chose m'a échappé. J'aime beaucoup Jean Dujardin. C'est un bon acteur capable de livrer de très bonnes performances comiques (confere OSS 117). Et même si j'ai pas trop aimé 99F, il y jouait...

le 15 oct. 2011

26 j'aime

15

Du même critique

Star Wars - L'Ascension de Skywalker
LeJulien_
5

Abrams VS Johnson. Et le public dans tout ça ?

SANS SPOILERS Bon bah il y a visiblement trop de caractères pour une simple annotation dans ma liste donc j'en fais une critique mais je vous assure que je ne voulais pas en écrire une étant donné...

le 23 déc. 2019

2 j'aime

Captive State
LeJulien_
6

Une bonne idée = un défaut

Le réalisateur du premier volet de la trilogie reboot de la Planète des Singes est revenu cette année avec un film de SF particulièrement déconcertant au premier abord. Les bandes annonces vendaient...

le 9 avr. 2019

1 j'aime

Lion
LeJulien_
6

Satané studio qui a enlevé 30 minutes de film... Hein ?

7.3 sur SensCritique, 4.5 sur Allociné, voilà un film qui a été majoritairment adoré par les spectateurs. Sur le papier, le film a l'air effectivement magnifique avec ce scénario inspiré d'une...

le 11 oct. 2018