
Contexte.
Ambiance stressante sur cette séance complète à laquelle on s’est battues pour avoir une place.
Contenu.
Jeune demoiselle qui elle aussi se bat et cherche à se faire une place dans la société.
Images fabuleuses, encore un film qui donne envie de prendre la route pour l’aventure, bien que le rêve américain ne soit plus tout à fait le même ici.
Appartenir à un groupe, rentrer dans leur foutues cases pour survivre, ou s’émanciper, être libre et accepter le fait d’être seul.
Quelle stratégie adopter pour affronter ce quotidien monotone parce que dans les deux cas, il faut bien se nourrir.
La bête sauvage est traquée du début à la fin, elle est piégée en fait. De la protection de son père a l’abandon, de la soirée avec ses nouvelles copines où elle découvrira que l’amour n’est parfois pas réciproque, à sa rencontre avec un chasseur expert en survie (ou pas) et enfin avec son âme sœur qui l’accompagnera dans sa quête.
Notre assoiffée évolue dans un univers hostile, elle les attire, ils veulent tous la posséder et on se demande tout du long si le petit chaperon rouge va réussir à déposer son pot de confiture ou si elle va se faire bouffer avant.
Conclusion.
Je n’ai vraiment rien contre les végétariens mais je suis un peu comme elle, après avoir gouté à l’amour c’est à la vie à la mort, ça se dévore à pleines dents !