Moi aussi j'aime la Blanchette qui rejoue Blanche. Mais tout cela ne suffit pas à faire un Woody Allen (qui a visiblement un conteat annuel avec Géo) de grande cuvée.
Petit crû malgré le buzz. J'allai mettre 4, mais finalement il y a une bonne idée (à peu prés la seule outre le bon casting) : filmer Sacramento en noir et blanc.
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L'odeur du jasmin
On se laisse porter par ce film. et on va finir par suivre Jasmine "pauvre petite fille riche" plus du tout riche.
Cate Blanchett est douée en névrosée qui parle à haute voix dans la rue sous la mine déconfite des passants.
On retrouve cette nonchalance propre à Woody Allen, avec comme à chaque fois un monde qui s'effondre lascivement.
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Poor Jasmine...
Les journalistes qui ont plébiscité « la plus grande oeuvre » de Woody Allen, devraient, pour le dire trivialement, faire se reposer leur mâchoire pour cause de fellation bien trop prolongée. Déjà, ériger Blue Jasmine en chef d’oeuvre et disqualifier Vicky Critisna Barcelona me semble un outrage assez scandaleux, mais passons. Tout de même, mon amateurisme en terme de films...
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Blue is the color
Extraordinaire Cate Blanchett. Il n'y a rien à redire, c'est une sacré actrice tout de même...dans le genre prétentieuse qui n'arrive pas à se sortir des ravages de son mari - financier - déchu et du fait qu'elle reparte à la case départ, elle est très convaincante.
Ah oui, il y a aussi Louis CK - que j'adore - dedans.
Sinon bon, c'est gentillet.
La bande-son est sympathique aussi.
Mais ça...
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Critique de Blue Jasmine par TomSawyer1984
Il en sort de ce film quelque chose de plat, presque de vain. Le scénario n'évolue pas, les personnages et les situations pas vraiment non plus. Aucun enjeu et pourtant, tout y est assez poussif voire caricatural. Certes, cela fait sourire mais se situe t-on dans dans un vaudeville ? Le contraste entre la grande bourgeoise et les prolos est assez grotesque.
Autre point faible : Woody Allen n'a...
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Critique de Blue Jasmine par kccinemacoms
Chaque année nous avons droit à un Woody Allen et après un très moyen To Rome with Love et un splendide Minuit à Paris, il est de retour avec Blue Jasmine où Cate Blanchett joue une femme au bord de la crise de nerfs, un peu fofolle qui vient envahir la vie de sa soeur après ses dernières déboires. On aborde ici une histoire assez sombre d'ailleurs.
On revient à la base de Woody Allen avec ce...
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Vous allez perdre ce sombre et bel inconnu
Woody Allen ne se renouvelle pas mais trouve parfois des situations entrainantes (excepté Minuit à Paris qui était plutôt l'inverse). Dans la même veine que «Vous allez rencontrer un sombre et bel inconnu» ce nouveau long du prince de Manhattan gagne en simplicité. Après le très bon Wathever Works il aurait du comprendre que s'embarrasser de trop de personnages alourdi inutilement le récit. Ses...
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A bout de souffle
Je ne sais plus pourquoi j'essaye encore les Woody Allen. Malgré des castings toujours solides, il n'y a plus de message, plus d'intrigue, plus rien. Pour un tel réalisateur, c'est comme regarder un téléfilm diffusé un jour férié, l'après-midi, sur une chaîne TNT : Ca distrait vaguement, mais au final, n'importe quoi d'autre aurait pu occuper ces 2 heures...
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She knows how to look away
Un point pour San Francisco, deux pour le jazz et trois pour une Cate Blanchett qui ne tient qu'à un fil, et dont la voix à elle seule fait apparaître l'émotion du film. Bien heureusement, car tout le reste y était inutile.
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