Comme "Halloween", "Black Christmas" s'ouvre sur une maison, en l'occurence une sorority house, en vue subjective.

Comme dans "Halloween", "Black Christmas" envoie un tueur asthmatique aux trousses de jeunes filles en pleurs.

Et comme "Halloween", "Black Christmas" pose les règles de base du slasher.

Sauf que le film de Bob Clark précède de cinq ans celui de Carpenter et lui est, à bien des égards, supérieur. Sorti dans le plus parfait anonymat, "Black Christmas" et son psychopathe au flippant charabia téléphonique méritaient mieux.
Marius
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le 28 févr. 2011

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