Ceci n’est pas un film comme les autres, ceci est bien une expérience visuelle. Ce n’est pas le grand film de l’année, mais il s’agit tout de même d’une petite claque cinématographique (pour ma part) visionné fin novembre 2020 car enregistré sur Arte il y a de ça quelques années et donc vu au cinéma à sa sortie. Petite parenthèse. Ou pas… ! Quand j’écris « vu au cinéma », j’ai... Lire la critique de Back Home
Bon, je me suis déplacé pour voir Back Home parce que j'essaye de voir, quand je peux, les films sélectionnés au Festival de Cannes et histoire d'élargir mon horizon cinématographique. Que nous propose ce drame norvégien avec des acteurs anglophones?? Eh bien, un drame familial comme on en a déjà vu par dizaines, avec secrets sous-jacents, deuils et relations entre... Lire l'avis à propos de Back Home
BACK HOME (13,9) (Joachim Trier, Dan, 2015, 109min) Un Mélodrame froid qui dresse le portrait d'une familiale en crise,composé d'un mari et deux fils et les multiples répercussions de la disparition d'un mère et d'un femme, à l'occasion d'une exposition retraçant la carrière de la photographe Isabelle Reed, disparue accidentellement. Joachim Trier après l'envoûtant "Oslo, 31 Août" nous livre... Lire la critique de Back Home
Certains d'entre nous se souviennent du choc émotionnel suscité par le précédent film de Joachim Trier : Oslo, 31 août, variation personnelle sur Le Feu Follet de Louis Malle, faux-remake qui parvenait à faire mieux que l'original. On attendait donc avec impatience ce Back Home, nouvelle potentielle pépite du cinéaste norvégien, film à priori capable de nous bouleverser par de saisissants... Lire l'avis à propos de Back Home
Dans la lignée de son très beau Oslo 31 août, Joachim Trier ne se départit pas d’un esthétisme très sûr pour son premier film en langue anglaise. Il livre un drame familial à la poésie aérienne, et offre une lecture touchante des interactions entre un père et ses deux fils après le décès de leur mère, photographe de guerre, et la façon dont chacun gère le deuil. La structure éclatée du récit,... Lire la critique de Back Home
En 2012, avec Oslo, 31 août Joachim Trier nous offrait le plus beau film de l'année (et sans doute du siècle). Difficile de se relancer après un tel chef d'oeuvre. Tourné en anglais avec un casting international et en compétition officielle à Cannes, Back Home (Louder than bombs avant les attentats) avait donc une énorme pression sur les épaules. Non pas qu'il ne soit raté, mais la barre... Lire la critique de Back Home
Louder Than Bombs à sa sortie à Cannes, puis transformé en Back home avec une nouvelle affiche, le film de Joachim Trier semble ne pas attirer les foules, et pourtant. Centrant son intrigue autour de la disparition d'Isabelle Reed, une photographe grand reporter, le film décrit le quotidien d'une famille américaine, dont le père tente vaillamment d'harmoniser tout ce petit monde et... Lire l'avis à propos de Back Home
Après l'incroyabel "Oslo, 31 aout", Joachim Trier succombe aux sirènes du casting internationale et livre un film à l'histoire classique mais porté par un quatuor d'acteur au top. La redécouverte de l'oeuvre d'une photographe décédé va pousser sa famille à affronter le deuil, chacun à sa façon. Le sujet du deuil est un classique du cinéma et l'on pouvait prévoir de revoir un énième film... Lire la critique de Back Home
Joaquim Trier est un réalisateur qui prend son temps, affine ses films et les rends intemporels. En 2006 sortait son premier film « Reprise » alors que son second « Oslo, 31 Août », consistant et poétique, ne sortirai qu’en 2011. Et nous voilà en 2015, en sélection officielle où nous le retrouvons avec un projet singulier, étrange et magnifique « Lire l'avis à propos de Back Home
L'histoire ne m'a pas du tout intéressée, je n'ai pas réussi à rentrer dedans. Ce n'est pas tant la lenteur du film, qui me dérange peu en général, c'est vraiment l'histoire. J'ai du mal avec les espace-temps décousus (c'est très perso) en plus. Si je dois juger le film dans sa globalité : il est bon c'est pas le problème. Les acteurs sont fabuleux : j'avais regardé le film à la base... Lire la critique de Back Home