'histoire d'August c'est un peu comme un gâteau moelleux de chez Picard, tu l'entrevois, tu y repenses souvent et enfin quand tu ne résistes plus et qu'il est tout chaud, ton cœur se brise pour mieux savourer le moment et repartir à 100 à l'heure avec des pépites de vie encore plus foudroyantes que dans un désert glacé. Et là c'est mon ventricule gauche qui parle parce que ce putain de film il m'a trop émue que j'en suis toute chamboulée.
Et OMFG j'ai chialé comme une lavette, à torrents genre mes yeux me piquaient tellement je pleurais, et que ma bave voulait pas rester dans ma bouche, mais franchement ce film il est juste WOAH, je m'en suis même trouvée pathétique à essayer d'essuyer tout ce débordement avec une paire de chaussettes (propres) qui traînait par là.
La soundtrack est étonnement bonne, on pourrait s'attendre à ce qu'ils aient tous misés sur les acteurs et bah non. Même si en fait tout passe par le visuel, puisqu'après quand tu réécoutes la bande son, sans rien sous les yeux, tu te dis : ouais ok, bon..
L'affiche paye pas de mine mais avec dans le rôle principale Freddie Highmore, le petit morveux qui m'avait déjà fait chialé (enfin je crois que chaque directeur de casting le choisit pour justement faire pleurer dans les chaumières parce qu'à part ses yeux larmoyant je vois pas trop ce qu'il apporte) dans Neverland au côté de Johnny Depp sauf que là c'est Robin Williams qui est à ses côtés (ouais côté sex-appeal ça foire un peu). Mais Keri Russel relève le charme, on dirait qu'elle est à côté de la plaque mais en fait NON ! elle rêve de son amour d'avant *soupir éperdu*.
Et en final c'est un magnifique film du dimanche, plein d'émotions et de rêves réalisables, je défie quiconque de bouffer sa mère s'il chiale pas.