vignettes

A year in the life of a small Italian coastal town in the nineteen-thirties, as is recalled by a director with a superstar's access to the resources of the Italian film industry and a piper's command over our imaginations. Federico Fellini's film combines the free form and make-believe splendor with the comic, bittersweet feeling for character and narrative we remember from some of his best films of the 1950s. The town in the film is based on Rimini, where Mr. Fellini grew up. Yet there is now something magical, larger-than-life about the town, its citizens and many of the things that happen to them.
le cinéma fellinien n’a d’équivalence chez personne, et notamment Amarcord, qui par tableau, ou plutôt par vignettes, montre Nostalgie de l’enfance, regret, caractère poignant du voyage à travers les années, pression continue de l’art sur la mémoire, exubérance de l’analyse, qualité pensante de la méditation, originalité du talent expressif.
Le film nous entraine par des décors improbable vers une réalité fantasmée, d'ailleurs, Libé disait de ce film:
« Les arbres sont faux, la séquence de la mer a été tournée en studio, tout est recréé. Plus : la voix des acteurs non plus n’est pas la leur : ils ont été doublés en romagnole ; on pourrait opposer tout ceci à un film de Visconti, La Terra Trema qui lui aussi était parlé en patois (sicilien) mais pour donner une impression de cinéma vérité tandis que là, c’est un jeu. Mais ce n’est pas gratuit, au contraire, car si Amarcord est irréaliste, il est profondément vrai.
Film culte à voir et à revoir.