Biopic franchement raté. Film antipathique. Que les amateurs de la musique de Joy Division ou de l'époque post-punk passe leurs chemins. Ici il n'est question que de la vie de Ian Curtis, qui est torché à toute vitesse sur la partie artistique, pour ne garder que le coté dépressif-larmoyant et amourette ridicule (faut voir la teneur des dialogues entre Ian et Annick..pitoyable). On arguera du... Lire l'avis à propos de Control
Hip Hop atmosphérique de grande classe signé par un ancien du désormais légendaire crew DITC. Andres Giant signe un disque sombre et teinté de nostalgie ou le beat reste discret, loin de toutes tentations bling bling. La prod signé Ray West (officiant entre autres au mixage du superbe Marcberg de Roc Marciano, qui possède des atmospheres similaires) est magnifiquement léchée et d'une rare... Lire l'avis à propos de Everything's Berri
Tout droit issue d'une tournée en Islande, Alec Empire rompt ici avec ses habitudes bruitiste, breakbeat et furieuse pour nous offrir un voyage glacial et étouffant. Basses sourdes, breakbeat indus concassé et filtré, relents de tb303 le tout noyé dans des reverbs caverneuses, tel est le programme de ce disque. Propice au chill out nocturne et au long trip introspectif, Alec Empire nous plonge... Lire la critique de Low on Ice (The Iceland Sessions)
Une dauberie sans nom, symbole du rien que représente les Daft Punk aujourdhui. Get Lucky est un single minable aux relents de funk périmé et sans imagination chantonné par un Pharell Williams sans aucun groove... Une purge. La pléiade de featuring (Moroder, Nile Rodgers de Chic etc) qui cachetonne là sans aucune imagination finit par créer un malaise. Malaise amplifié par les interview... Lire la critique de Random Access Memories
Album surcoté par une intelligentsia biberonné à la daube certifiée "Inrock Approval", Heligoland est un condensé du pire de Massive Attack depuis 10 ans. Une sorte de best of de la honte. Dire que le groupe de Bristol est à cours d'inspiration est un pléonasme tant leurs productions depuis Mezzanine tournent à vide. Trip Pop insipide porté par des vocalistes déprimants de platitude. On reste... Lire la critique de Heligoland
Boulevard reste à ce jour un condensé du meilleur des travaux de Ludovic Navarre. Prodige House français à une époque ou ses collègues crapotaient en singeant les productions teutonnes ou américaines; lui signait une pléthore de maxi qui sont restés dans les mémoires. Boulevard est un disque soigné et inspiré. Respectueux des racines de cette musique tout en lui apportant une personnalité... Lire la critique de Boulevard: The Complete Series
Shazz a toujours fait dans la House légère, c'est un fait. Mais jusqu'a ce disque, il avait su donné à sa musique ce feeling simple mais agréable et surtout sans prétention. Avec cet album sorti en 1998, on passe dans la catégorie musique d'ascenseur maniéré. Beats innoffensifs, vocaux insipide et autres niaiseries rn'bisante raté. Difficile de sauver quoi que ce soit du naufrage. On s'endort... Lire la critique de Shazz
L'exemple parfait du film raté. Un casting qui envoi du lourd ( Brad Pitt, Ray Liotta, James Gandolfini..), un réalisateur qui avait prouvé de jolies choses avec son précédent film. On partait plein d'espoir mais on sombre très vite dans un ennui abyssal. Un film sans intérêt porté par des dialogues insipides au possible. En effet que dire des tirades de James Gandolfini, qui place le... Lire la critique de Cogan : Killing Them Softly
Déambulation nocturne et mollassone d'un flic de la brigade mondaine. Il ne se passe objectivement pas grand chose. L'intrigue est sans grand intérêt mais c'est plutôt bien réalisé. Roschdy Zem signe une performance de taiseux charismatique et borderline réussi. Sara Forestier en flic ingénue est agréable. Samuel le Bihan assez naze comme d'habitude... En bref un film pour les amateurs (dont je... Lire la critique de Une nuit
Une vague histoire de rivalité et de sucession sur fond de guerre des polices ou l'on a bien du mal à cerner les motivations de chacun des protagonistes. Une tétra-chié d'acteurs plus que valable sous exploité (Roshdy Zem entre autres). Un Depardieu qui a l'air de s'emmerder et qui finit par s'énerver de façon ridicule dans la dernière séquence du film (fin totalement raté au passage). Daniel... Lire la critique de 36 quai des Orfèvres