C'est une véritable plongée à l'intérieur du cerveau dérangé du Joker. A travers plusieurs flashbacks, les auteurs nous retracent son passé : comique raté, futur père de famille, sans le sou dans un Gotham ouvrier. Et puis le drame : sa femme qui meurt dans un accident domestique, lui qui finit défiguré après être tombé dans de l'acide.
Avec les souffrances qu'il fait subir à ce pauvre Jim Gordon, le Joker nous donne une définition de la folie. L’apparition de Batman est là pour souligner la relation étrange entre eux deux : deux faces d'une même pièce, le même passé marqué par des tragédies familiales, une tendance à la violence, un dégoût de l'humanité. Jim agira en médiateur : "arrêtez-le. Mais suivez les règles". C'est là où Batman est différent. Car il a Jim autour de lui mais aussi Barbara, Alfred ou Robin pour le cadrer.
Pas compris la fin par contre. Mais y a-t-il quelque chose à comprendre ?