Vous ne trouvez pas les toutes dernières sorties ? C'est normal : on rencontre un petit problème avec la base de données Musique. Désolé du désagrément et merci pour votre patience. On revient vers vous dès que la cause du problème est réglée.
Let's swim to the moon
Uh-huh
Let's climb thru the tide
Penetrate the evenin' that the city sleeps to hide
Ce sont notamment par ces paroles chantées, qui donneront le remarquable Moonlight Drive, présent sur le second album du groupe, sur une plage de la côte californienne par...
Lire la critique de The Doors
This is the beginning, my only friend...
The Doors, by "The Doors", premier album studio du groupe mythique, enregistré en une semaine à peine, concentré de tubes et d'une puissance incantatoire encore intacte à chaque écoute.
Si à l'époque le succès absolu de cet album reste la composition de Robby Krieger Light my fire, hymne à la passion sexuelle et dotée d'une mélodie imparable accompagnée des...
Lire la critique de The Doors
Deprima Song (whisky bar)
Elle avait le visage morne et éteint de la femelle qui n'envisage une étincelle de vie que pour tenter de séduire un mâle, le temps d'une étreinte triste dans le but fonctionnel d'une reproduction. Après avoir avalé deux gorgées de bière qui, à son rictus, aurait tout aussi bien pu être de la pisse tiède, elle libéra le pet sec de sa sentence:
- les Doors, sans rire… les portes !...
Lire la critique de The Doors
Critique de The Doors par nico94
Les Doors sont un mythe, un mythe intact 50 ans après la disparition de Jim Morrison.
Il faut dire qu’en l’espace de quelques années, le groupe a sorti plusieurs albums cultissimes dont deux chefs-d’œuvre (celui-ci, le premier, l’autre étant L.A woman paru en 1971).
Une musique qu’on peut immédiatement définir comme un mélange entre pop/rock 60's assez classique , rock psychédélique (leur nom...
Lire la critique de The Doors
AU DEBUT, LA FIN
D'abord, il marche.
Un maniérisme chaloupé qui l'oblige à poser un pied devant l'autre en un léger déhanchement.
Un peu frimeur.
Un peu félin.
Funambule.
Le regard est assuré. Son sourire est timide. Charmeur.
Personnage libre et léger, angélique et antique. Il sait qu'il est capable de tout donner sans retour et sans limites par amour de la vie.
D'abord, il marche.
Capable de lourdeur,...
Lire la critique de The Doors
Une énorme claque !
Dans les classements de tous genres (faire des listes est notre manie, comme le montrait Nick Hornby), ce disque figure en général en bonne place parmi les meilleurs "debut albums" de tous les temps. S'il a été une énorme claque à l'époque, principalement à cause de "The End", morceau tour à tour tellurique et aérien, où Morrison affronte avec...
Lire l'avis à propos de The Doors
10
Je me suis toujours demandé ça. Comment se fait-il que ce morceau soit si fort ? Il y a un truc dedans qui n’a rien à faire là, mais qui est là, et bien là, et c’est bon ce truc. Un gars qui hurle: Break on through, to the other side! Break on through…Le rock le plus sauvage, avec un feeling latin rarement entendu dans un morceau purement rock. C’était un plan de bossa nova (?) Groupe...
Lire l'avis à propos de The Doors
Des portes vers autre chose...
... The Doors, c'est ça. Ils nous invitent dans leur univers, dans leur paradis artificiel, où l'on entre comme on entrerait chez un dealer musical. Leur musique enveloppe dans une brume camé-léon, guidée par la voix d'un Morisson sorti des tréfonds de son propre Enfer. De tous les musiciens, je retiens surtout le claviériste, Manzareck. Il a une propre patte, véritablement incopiable...
Lire la critique de The Doors
Ride the snake !
Pourquoi cette note ?
Déjà pour Jim Morrison, ma première histoire d'amour, l'idole de mon adolescence, le poète que je lisais dans la cour du collège...
Ensuite pour "The end", parce que c'est tout simplement génialissime sur tous les plans... Un petit bijou cette chanson.."Ride the snake. The snake is long. Seven miles.."
Puis pour "Alabama song", puisque oui, c'est important de trouver le...
Lire la critique de The Doors
La surprise
Le car, le noir, la route, l’horizon sombre, la musique, l’immersion, le conducteur devant, la passagère voisine lisant à gauche.
Moi.
Sur une planète inconnue, dans une galaxie lointaine, plus lointaine que celle de Star Wars. Dans un trou noir, dans une étoile, dans un vide infini, un vide où ne résonne qu’une chose : The End.
Je n’ai jamais réellement accroché au style des Doors. Trop...
Lire la critique de The Doors