50 ans !

50 ans de carrière en solitaire après avoir quitté le plus grand groupe du monde.
Ayant crée dans la foulée un autre (bon) groupe éphémère.
Le Pretty Boy que vous êtes n’en finira décidément jamais d’enchanter les esgourdes de millions (milliard !?) de personnes.

Quelle année 2020 !
Les vacances ! Enfin !

Et quoi de mieux pour les entamer qu’un album de Sir Paul.
Le tout nouveau en plus.
Pas prévu à la base (sacré virus!) mais découle de spontanéité fiévreuse, comme s’il avait fait ça toute ça vie (ah bah...c’est le cas en fait).
La voix, qui s’assagit avec le temps, semble tout de même avoir encore de belles années devant elle.
On ressent toujours ce Deep Deep Feeling qui hante vos chansons, Sir Paul, et qui nous transporte pour contempler ce Long Tailed Winter Bird qui apostrophe avec respect le Blackbird et le Bluebird caquetant main dans la main (ou plutôt aile dans l’aile) pour leur rappeler que ce n’est pas demain la veille la fin de la fanfare (solitaire des choeurs du…bon vous avez compris).

78 ans et toutes ses dents !
Mais cheveux gris désormais…

L’empereur de la Pop entre en plein dans la moule de la nouvelle décennie, s’excusant presque comme le bon garçon qu’il est.

Cet album est-il vraiment le sauveur de l’année maudite ? (Laughing, si tu passes par là)
Aucune idée, mais ce qui est sûr c’est qu’il achève admirablement 2020 et tombe à pique en ses fêtes de Noël un peu spéciales (que je ne pourrais pas fêter avec le reste de la famille pour la première fois, quelle tristesse).

Joyeuses fêtes à tous les sens critiqueurs.

Et à vous aussi cher Paul McCartney, puissiez-vous encore nous régaler durant cette nouvelle décennie.