
Passée la phénoménale "Angels", toute en douceur et en retenue, XX révèle un deuxième album un peu terne.
Je continue à apprécier la parcimonie des instrumentations et des voix, l'utilisation intelligente des silences et des respirations, comme le ferait un designer pour le vide.
Le problème, c'est que ces qualités étaient déjà là sur le premier album, donnant l'impression que XX s'autoparodie.
Un peu plus d'originalité et de mise en danger auraient été les bienvenues.