My Dreams Dictate My Reality par François Corda

Paradoxe un peu déroutant. Soko, dont le premier album nous avait « seulement » interpelé, trouve ici un vrai supplément d’âme en avouant avec une sincérité touchante son amour pour The Cure, première période. L’hommage peut sembler un peu trop évident, mais entre ténèbres et légereté, My Dreams Dictate My Reality trouve un chemin parsemé de mélodies spontanées et mémorables.

Créée

le 15 sept. 2018

Critique lue 113 fois

François Corda

Écrit par

Critique lue 113 fois

D'autres avis sur My Dreams Dictate My Reality

My Dreams Dictate My Reality
EricDebarnot
7

Musiques fondatrices

Comme Soko, on a adoré The Cure et sa douloureuse mélancolie. On s'est tout autant qu'elle excités sur les voix guerrières de ces chanteuses punk - Blondie, Siouxsie et quelques autres - qui ont...

le 4 mai 2015

2 j'aime

My Dreams Dictate My Reality
Seijitsu
6

Mignon tout plein mais…

Les attentes que l’on projette sur un disque ont souvent de drôles répercussions sur notre appréciation. Comme beaucoup de monde, je suppose, j’ai connu Stéphanie Sokolinski (alias Soko) grâce à son...

le 19 juil. 2015

1 j'aime

My Dreams Dictate My Reality
Anophele85
7

Critique de My Dreams Dictate My Reality par Anophele85

J ai bien aimé la Soko de 2015, touchante, fragile, talentueuse, pudique.J échangeais sur Tweeter. J ai beaucoup écouté ces jolies chansons. Puis quelques années plus tard à la sortie du bon my...

le 8 janv. 2024

Du même critique

Les Chambres rouges
Francois-Corda
4

Les siestes blanches

La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...

le 24 janv. 2024

4 j'aime

1

The Telemarketers
Francois-Corda
8

My name is Patrick J. Pespas

Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...

le 3 nov. 2023

4 j'aime

Rire une dernière fois avant la fin du monde…
Francois-Corda
8

Critique de Rire une dernière fois avant la fin du monde… par François Corda

Didier Super se repaît de la lie de l’humanité, c’est son fonds de commerce. Qu’il soit parvenu à élever ce concentré de bêtise crasse au rang d’art (cf. ses albums Vaut mieux en rire que s’en foutre...

le 17 juin 2020

4 j'aime

2