
Low n’en peut plus d’essayer de se renouveler depuis plus de dix ans, et finalement, le trio n’est jamais été meilleur que quand il exerce ses talents dans le domaine dans lequel il excelle : la délicatesse. A ce titre, C’mon est sans doute ce que les Américains ont sorti de mieux depuis The Great Destroyer. Plus que jamais, Double Negative assourdit au contraire par son volontarisme forcené, son combat ostensible contre sa propre identité (tous les voyants de la production sont dans le rouge).
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