
Et on a skié
Plus tard, par émoussement de l'esprit, j'ai appris à me rallier au consensus des images que l'on associe à Loveless. Des images chaudes, du magma, celui des guitares qui phagocytent tout le reste, les mélodies simples qu'on excave laborieusement, les voix qui fondent, le son épais qui croustille. Plus tard. Mais mon Loveless à moi, pas celui des autres, le mien, il a pris une toute autre... Lire la critique de Loveless